Elrond Peredhel
Notfold Waerdthain :: Les Trésors d'Arda [Zone informative RP] :: Terres Elfiques :: Personnages Historiques [Elfes] :: Lignée d'Elrond [Fondcombe]
Page 1 sur 1
Elrond Peredhel
Elrond Peredhel de Fondcombe
¤ Nom(s) du personnage: Elrond Peredhel / Le Semi-Elfe / Elrond de Fondcombe
¤ Âge du personnage: D'aspect physique, il conserve les proportions d'un homme de quarante ans. Son véritable âge est de 6517 ans.
¤ Race du personnage: Elfe
¤ Peuple du personnage: Fondcombe
¤ Lieu de naissance du personnage: Havres du Sirion
¤ Lieu de vie du personnage: Terres Elfiques
¤ Grade du personnage: Seigneur de Fondcombe
¤ Histoire:
*L'histoire devint une légende, la légende devint un mythe.*
Depuis des temps immémoriaux, l'on raconte que le Seigneur Elrond de Fondcombe était le fils du marin Elfe Eärendil et d'Elwing. Jumeau avec son frère Elros, ils furent tous deux kidnappés par les Fils de Fëanor, qui massacrèrent le peuple dont étaient issus les jeunes enfants. Maglor, second fils de Fëanor, prit en pitié les deux enfants et renonçât à l'abominable serment de son père qui consistait a supprimer les êtres ayant un Silmaril en leur possession. Les deux jeunes enfants furent formés aux corps d'armes, s'instruisirent et s'épanouirent dans les sciences elfiques, devenant des jeunes êtres dôtés de la force et du savoir.
Avec la Mort de Morgoth, survint la fin du Premier Âge. Les Valar offrirent alors aux deux jumeaux le choix de leur appartenance à la race qu'ils désiraient. Alors qu'Elros devint le premier roi de Numénor pour les humains, Elrond quant à lui, offrit son allégeance aux Elfes et embrassa le drapeau de Gil-Galad, le Haut-Roi des Elfes, descendant unique de Fingolfin.
Avec les armées du Seigneur Noir Sauron détruisant les régions Elfiques telles que l'Eregion et l'Eriador. Gil-Galad envoya Elrond en Eregion combattre l'ennemi. Cependant, battant en retraite dans les coins reculés de la région, Elrond fonde Imladris, le lieu où il vivra presque tout le reste de sa vie. Les armées de Sauron continuaient hélas leur inexorable progression, et c'est en joignant les armées Elfiques et Humaines que la Dernière Alliance fut crée. Elrond était le Héraut de Gil-Galad, qui lui offrit un anneau de pouvoir : Vilya.
Hélas, malgré le siège de Barâd-Dur, Elendil et Gil-Galad périrent, cependant, Sauron, qui avait été vaincu par Isildur fut détruit. Les forces ennemies s'enfuirent tandis que la victoire se rapprochait. Elrond emmena Isildur vers la montagne du Destin pour détruire tout ce qu'il restait du Seigneur Ténébreux ... L'anneau Unique. Tellement de sang versé, tellement de morts, et tout cela allait prendre fin pour toujours. Tout cela allait ensuite être terminé et nos morts seraient enfin en paix.
*J'ai conduit Isildur au cœur de la Montagne du Destin. Là où l'Anneau avait été forgé, le seul endroit où il pouvait être détruit.*
- "Jetez le dans le feu !"
Dis-je à Isildur, tout en surplombant la fosse emplie de lave de cette montagne sans cesse en fusion. L'héritier du roi tenait l'anneau dans sa main droite, son regard porté sur cette si petite chose, le scrutant, l'analysant ... Perdant du temps. Il le faisait rouler dans ses doigts, si bien que lorsque son regard se releva, il semblait si ... Avide, si possédé.
- "Détruisez-le !"
Dis-je une nouvelle fois, éprouvé, fatigué du combat qui nous avait tellement prit, tellement fatigués. J'étais à bout de force, et la victoire finale se tenait dans le creux de la main de cet homme, nous étions à un doigt de la victoire ... Sa bouche s'ouvrit, et un maigre "Non" en sortit, suivit d'un sourire. Suite à cela, il se retourna et marchât vers la sortie de la Montagne du Destin. Suite à cela, je hurla de douleur le nom de l'Homme qui venait de souiller sa lignée. Sa lame brisée fut un moment évocateur et le fil qui conduisait la Noble maison de Gondor à sa perte. Quand Isildur tomberait, ce sera la chute de l'Empire des Hommes sur ces terres.
*Tout aurait put être fini ce jour-là, mais il permit au Mal de perdurer.*
Et c'est ainsi que j'ai vu la race des Hommes échouée, lamentablement. Regroupant mes hommes, je partis et m'exila moi-même dans ma ville d'Imladris ou je règne sur les Terres de Fondcombe. J'ai suivit pendant des années, écoutant les moindres messagers, de ce que fit Isildur. Ses actions, il était clairement sous l'influence de l'Anneau. C'était certain. Cependant, le Mal attire le Mal. Isildur fut tué, et l'Anneau disparut et personne n'en entendit plus parler. C'était un mal pour un bien, mais un jour où l'autre, il refera surface. Le Mal ne pourra jamais être détruit sans la fin de l'Anneau et malheureusement, il fallait rester aux aguets.
Avec sagesse et intelligence, Imladris devint un symbole de la beauté des Elfes. Ma demeure était certes, nichée et exposée dans une vallée, reculée et dans un mauvais endroit stratégique, mais elle offrait les charmes, la grâce et le bonheur dans la maison d'Elrond. Chaque jour était une fête, douce-amère. Nous en venions a pleurer souvent nos rois, nos reines, nos légendes, nous contions sans cesse leurs pertes et leurs destins tragiques. Je fis même ériger en l'honneur de nos ancêtres des vitraux magnifiques, racontant les légendes et les histoires perdues. Ma bibliothèque s'étoffa elle aussi, au fur et à mesure que les millénaires passaient. Je discutais philosophie et enseignais les arts à mes condisciples, mes élèves.
Cependant, un mal m'habitait, un mal commun aux hommes et parfois, rarement, aux Elfes. La Nostalgie. Je fis une dernière fois le voyage vers le Mordor. L'air était comme toujours pestilentiel, enivré par le souffre, un paysage désolé, monstrueux, désespérant. J'étais en quête de cette chose, de cette arme qui fut brisée, et je la trouva. La Lame qui fut brisée : "Narsîl". C'était une relique, une chose magnifique, brisée certes, mais elle avait vaincu Sauron jadis. Il fallut du temps pour retrouver les petits morceaux éparpillés, le moindre morceau manquant pourrait bien entendu, être fatal. Cette lame ne serait jamais reforgée, au grand jamais. Elle ne serait plus qu'un souvenir brisé, vestige d'un passé oublié et honteux. Une manière de dire que cette guerre a brisé plus que des peuples.
*Une vie d'or et de joie.*
Les temps, les années furent prospères, riches. Le savoir était loi dans les terres de Fondcombe. Le Mal ne pouvait décemment pas entrer sur mes domaines sans en recevoir le moindre châtiment. J'ai mis des années a protéger les lieux, protégeant mes frontières avec parcimonie et minutie. Les Gués menant à Fondcombe et tout chemin menant à la vallée étaient protégés par un maléfice de mon anneau, Vilya, qui empêchaient et repoussaient les assaillants hors de mes terres. Cela se révélera utile notamment quand un certain hobbit, en compagnie d'une jeune elfe, voudra échapper à des cavaliers de Mordor.
Un des principes qu'une maison Elfe se doit de garder, c'est l'hospitalité pour quiconque la réclame, mais il ne faut certes pas abuser de l'hospitalité des Elfes. Grâce aux runes, aux mots de magie, j'étais un guérisseur attentif et expert. Je sais comment traiter les plus sombres maladies grâce aux sorts légués par nos ancêtres, tout en conservant les rites de nos étoiles.
Pendant des années, j'ai dispensé mon savoir aux Hommes, aux Elfes, j'ai servit de conseiller et d'experts en runes oubliées. J'ai développé nombres d'amitiés avec les Magiciens appelés Istaris et autres Déesses de la beauté Elfiques notamment. Les années étaient longues, monotones. Cependant, ma femme Celebrían fit naitre trois enfants issus de ma Lignée. Elladan et Elrohir devinrent des combattants émérites dans les armées Elfiques. Excepté ma fille, Arwen Undomièl, elle est l'étoile du Soir. Elle reçut la grâce des Elfes et la beauté chère à notre race. Cependant, elle attira aussi un "humain" dans ses filets. Une chose inacceptable à mes yeux. Peut-être que le temps se chargera de lui.
*Un seul voyage vers des contrées d'or et de cendres.*
Des Gobelins, sur les Terres de Fondcombe. Comment cela se peut-il ? Dirigeant mes troupes vers les vertes vallées de Fondcombe, nous écrasâmes ces monstres facilement. Nul ne peut pénétrer en Fondcombe sans l'autorisation du Seigneur Elrond de Fondcombe, et surtout pas un orc ou un gobelin. La mise à mort fut brutale et les autres lâches s'enfuirent. C'est en revenant à Imladris que je compris la chose. Des nains, un hobbit et un magicien demandant audience avec moi. Je suis ouvert à toute forme de discussions. Même si parler aux Nains est toujours source d'ennuis et de bagarres, Elrond de Fondcombe leur offrira le gîte et le diner. Cependant, ils se lancèrent dans une quête pour récupérer leurs anciennes terres naines, je ne pût qu'offrir mon aide pour la traduction des cartes qu'ils me présentèrent.
Le Hobbit s'appelait Bilbon Sacquet, il venait de la Comté. Il n'était certes, pas préparé pour un tel voyage, mais être en présence des Elfes le comblait. Il fit des chants, des poèmes, et honora nos ancêtres. C'est avec un honneur qu'il resterait à jamais un ami des Elfes à Fondcombe et qu'il sera toujours le bienvenu ici.
Leur expédition était maintenant partie. Il fallait néanmoins se pencher sur d'autres problèmes plus importants. Le futur est un lieu incertain, et d'après les rumeurs, quelque chose grondait vers l'Est. Quelque chose de sombre et pourtant si familier ...
¤ Caractère: Elrond est avant tout un Elfe. C'est à dire qu'il se détache souvent émotionnellement, il ne perçoit pas les sentiments comme les humains. Il préfère l'analyse, l'étude du comportement. Bien entendu, ses émotions se traduisent souvent par de la colère et de la froideur. Ses paroles peuvent sembler sèches et dépourvues d'inhumanité. Mais tout cela n'est que la conséquence logique de sa perte de foi en l'Humanité, qui a déçut les morts de la seconde guerre. A ses yeux, la trahison d'Isildur a humilié et profané la mort de Gil-Galad et d'Elendil, des morts en vain. Cependant, sa sagesse est éclairée, même les Istaris viennent le consulter en cas de problème. Ses yeux percent l'âme, scrutent. La seule personne qui trouve encore grâce à ses yeux, ce sont ses enfants. Hélas, les deux héritiers ont quitté la maison familiale depuis si longtemps que c'est Arwen qui occupe toute l'attention du père de famille. Elle est pour Elrond, une étoile qui scintille dans le ciel d'Imladris. Un bijou qui doit rester dans un écrin.
¤ Physique: Elrond est un Semi-Elfe. Partageant ses origines entre les Numénor et les Elfes, il reste agréablement beau et distingué. Ses cheveux sont noirs et longs, deux nattes descendent des pattes de ses cheveux surmontés de deux petits fils d'or qui les entourent. Ses cheveux arrières restent certes anarchiques, mais conservent leur beauté. On pourrait le croire humain, si ce n'est les deux oreilles qui se terminent en pointent, caractéristique des Elfes comme à l'habitude. Ses sourcils sont relevés, et légèrement soignés. Ses yeux bleus sont empreints de sagesse et de froideur. Un regard perçant qui scrute attentivement l'interlocuteur. Son nez est fin et sa bouche suit le même raisonnement.
Ses vêtements sont brodés par les Elfes, sans trop d'excentricité, ils restent dans les teintes d'un seigneur Elfe. Portant des tuniques aux couleurs de la Lune, de l'argenté, des étoiles, il reste en accord avec les mystères de son peuple. Et à son doigt, se trouve Vilya, l'anneau que Gil-Galad lui offrit. Un des sept anneaux de pouvoir.
¤ Camp: BIEN
¤ Parenté et personnes proches: Descendant d'Eärendil Le Marin. Père d'Arwen Undomièl. Ami de Bilbon le Hobbit et de Gandalf le Gris. Entretient de bonnes relations avec Galadriel et Celeborn, les deux autres détenteurs des anneaux Elfiques.
Dwyngéïr Fhyringeld- Messages : 208
Date d'inscription : 31/12/2012
Localisation : Forloi
Feuille de personnage
Titres: Thäne des Grimferthas Waefringas ¤ Sénéchal des Landes Farouches ¤ Froid dans le Froid ¤ Chercheur de peine
Fiche d'équipement:
Barre d'Experience:
(100/100)
Notfold Waerdthain :: Les Trésors d'Arda [Zone informative RP] :: Terres Elfiques :: Personnages Historiques [Elfes] :: Lignée d'Elrond [Fondcombe]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|