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Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion

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Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion Empty Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion

Message  Dwyngéïr Fhyringeld Ven 3 Oct - 23:20

Calion II le Majestueux

Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion Preview

"Il n'y eu au Dorwinion, nul autre roi aussi grand que Calion II. Il avait donné au pays des vignerons une gloire et une splendeur jamais atteinte auparavant par les anciens dirigeants. Le commerce ne faisait que s'améliorer  et la guerre était maintenue loin des frontières du pays par le roi,  qui gérait avec une main de fer sans pour autant être un tyran son pays. Ont le disait bon avec le peuple et impitoyable avec ses ennemis. Tel était Calion II du Dorwinion, tel était notre roi!"

Redoc, général en chef des armées du Dorwinion

¤ Âge du personnage:
Il avoisine la quarantaine d'années

¤ Race du personnage:
Homme

¤ Peuple du personnage:
Dorwinion, bien que par de son ascendance royale il ai en lui du sang de dunedain.

¤ Lieu de naissance du personnage:
Imlad Galen

¤ Lieu de vie du personnage:
Imlad Galen

¤ Grade du personnage:
Roi marchand du Dorwinion¤ dis le penseur¤ Stratège et philosophe hors normes¤ descendant de la lignée des dunedains

¤ Histoire:

"Une histoire, l'histoire s'écrit sans cesse, souvent seul les grands noms restent gravés dans les mémoires, le reste étant oublié par les génération suivante, Calion était de l'étoffe de ses hommes qui était prédestinée a rester dans les annales et a ne pas être oubliés par le reste du monde dans les générations à venir! Calion savait que son histoire deviendrait l'Histoire, et la ou d'autre on échouer il y arriverait! Car peut d'hommes étaient de taille de réussir un tel exploit, ni même pouvoir prétendre a réussir de tel choses sans être traité de fou par le reste du monde."

Rothos, riche marchand du dorwinion ainsi qu'ami et conseiller du roi.

Prologue:

Le dorwinion le pays des vignobles, connu pour ses vins d'une rare finesse, et d'une qualité exceptionnelle que même les nobles et raffinés elfes achetaient. Si il y avait une liste des endroits ou il faisait bon vivre et où les ravages de la guerre ne sont pas visible, le Dorwinion en ferrait partie, avec ses plaines vallonnées et verdoyantes, ses terres pentues a souhait et caillouteuse propice au bon développement des vignes, et donc de la bonne production de vin. Le vin, l'atout principal de ce petit pays, dont l'économie reposait en priorité sur cette denrée qui s'arrachait à des prix d'or dans toute la terre du milieu. Ancienne marche orientale du gondor ce pays avait longtemps était fédéré par les dunedains du sud, on en sait que peu de choses sur le Dorwinion avant cela, même les annales du pays demeurait inexistante.  Ce fût en 1856 du tiers âges que le dorwinion devient indépendant. Le gondor fut sûrement coupé de cette colonie par l'expansion territoriale des gens des chariots,  les gondoriens laissèrent alors le Dorwinion se concentrant sur leurs propres royaumes. Ce fut la que la noblesse pour la plupart des dunedains, prirent la décision de gouverner le royaume, choisissant un roi. Ce fut le roi Bladorthin qui fut alors désigné, premier roi du Dorwinion selon les annales du pays. Il fut connut plus tard comme un grand roi, puissant et influent en rhovanion. Ses enfants lui succédèrent alors, devenant la lignée des rois du dorwinion,c'est de cette lignée dont descend Calion II fils de Pelendur, actuel roi du Dorwinion, voici son histoire....


Chapitre I: La naissance d'un futur grand roi!

Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion 3010

"Il n'y a pour moi aucun autre grand privilège que celui d'avoir un fils, quelqu'un que l'on aime par dessus tout, et que l'on voit grandir, s'émerveiller devant des choses simples de la vie. Même si je suis roi et que le royaume me prendrait tout mon temps je ferait tout ce qui est en mon pouvoir pour garantir a mon fils, Calion 2éme du nom, la survie de ce pays et de lui laisser les rênes d'un pays sain, riche et noble. Ou l'horreur de la guerre n'a pas lieu et ou il fait bon vivre, afin que le prince puisse à son tour rendre le Dorwinion plus puissant qu'il ne l'a jamais été et être fier de ce qu'il a accomplit"

Pelendur, roi du dorwinion et père de Calion II



Nous sommes au Dorwinion, précisément a la capitale de ce pays : Imlad Galen, la nuit arrivait paisiblement sur le royaume des vignes et le soleil se couchait paresseusement a l'ouest, inondant la cité Dorwinienne de ses derniers rayons rougeâtres et éclairant une dernière fois les sillons verdoyants que formaient les pieds de vignes. Le roi de ce pays, Pelendur  etait paisiblement assis a une table en train de manger dans le palais royal. Pelendur, un grand homme parmi le peuple du Dorwinion, l'un des rares a avoir réussi a faire connaître au Dorwinion une telle ére de richesse et prospérite, le seul grand roi du Dorwinion qu'il y eut après le grand Bladorthin, il n'était peut être pas apprécier de tous, mais tous le respecté et écoutez ses paroles, et obéissaient s'il le fallait. Beaucoup le considéraient comme un roi juste, noble et sage, ont disait qu'il ne ferait rien pour entraver le peuple. Mais qu'envers ses ennemis qu'il soit de l'intérieur du pays ou de l’extérieur il serait aussi impitoyable et sans pitié que le plus cruel des orcs.  Pelendur était donc dans le palais royal, assis droitement sur sa chaise de bois ; ses longs cheveux bruns retombaient et couvraient en partit ses yeux d'un noir profond, nul n'aurait pus soutenir un regard si intense pendant plus de deux minutes. Il prenait le temps de déguster une délicieuse perdrix qu'il avait tuer plus tôt dans la journée lors d'une chasse avec sa cour. La perdrix  était il devait l'avouer extrêmement bien préparé, la cuisson était adéquate, la sauce et l'accompagnement de légumes étaient une merveille pour les papilles. Le roi était paisiblement assis la en train de manger, seul et silencieusement il réfléchissait a divers problèmes concernant le royaume du Dorwinion lorsqu'un homme fit irruption dans la salle; il était a bout de souffle il avait du courir a travers le palais, de grosses gouttes de sueur tombait de ses bras et de son visage, l'homme portait une légère armure de cuir noir, et vu la chaleur extérieure il avait du cuir en venant jusqu'à cette salle, surtout si il avait du courir. Il pris le temps de regarder quelques minutes le roi , qui continuait a manger tranquillement son repas, tout en reprenant son souffle avant de s'avancer vers lui d'un pas plus lent, une fois arrivé a ses côtés il s'agenouilla et attendit que le roi lui dise de se relever et de parler. Pelendur pris le temps de finir sa bouché et de s'essuyer la bouche avec une serviette qui était posé a côté de son assiette, il la reposa lentement avant de tendre la main vers le pichet de vin , le meilleur que l'on aurait pus trouver ; son goût n'était pareil a nul autre, fruité a souhait et doux en bouche, avec un goût qui pouvait rester dans la bouche des heures. Provenu tout droit de la cave personnelle du roi, en effet Pelendur a chaque récolte réservait les meilleures fut de vin du pays, sa main se referma lentement sur la poignée du pichet  en même temps que de l'autre le roi faisait  signe au soldat qu'il pouvait se lever et parler. Ce dernier s’exécuta tandis que le roi verser du vin dans sa coupe de fer doré incrusté de pierre précieuse. Le soldat pris la paroles au moment ou Pelendur  reposât le pichet contenant le vin.

«Sire j'ai l'honneur d'être le porteur d'une bonne nouvelle pour vous, votre famille, et pour le Dorwinion entier, votre femme Honoria. Sire elle est en train d'accoucher, toutes mes félicitations, puisse cet enfant être un homme afin qu'il puisse hériter du trône.»

Pelendur , le magnifique,  leva sa coupe et aller la porter a ses lèvres, il s’arrêta alors laissant son bras et la coupe en suspend et répondit au soldat de son ton doux et gentil , comme si il parlait a un fils et non a un de ses serviteurs, comme à son habitude.

«Merci, va dire aux sages femmes ainsi qu'a cette chère Honoria que je serait la d'ici dix minutes, le temps que je finisse mon repas. Et tu peux espérer que ce soit un homme mais même si cet enfant sera une fille, je la destinerai aussi a hériter du trône qui est aujourd'hui miens. Tu as du courir pour venir jusqu'ici m'annoncer cette nouvelle n'est ce pas?»

Le soldat acquiesça encore un peu haletant et le front encore trempé de sueur. Le roi pris alors une des trois coupes vides qui était posé sur le plateau ou se trouvait le pichet de vin, qu'il prit ensuite, il remplit la coupe a moitié et la tendit au soldat qui parut surpris et hésita a la prendre.

«Rafraîchit toi, et ensuite va porter le message que je t'ai dis, ensuite une fois cela fait tu auras bien mérité de pouvoir retourné auprès de ta famille et de te reposer.»

Le soldat pris la coupe tout en faisant une petite révérence de remercie.

«Vous êtes trop bon monseigneur.»

Le soldat vida le vin et partit en courant pour porter le message que le roi Pelendur lui avait confié, pendant ce temps la ce dernier continuait paisiblement de finir sa perdrix comme si rien ne c'était passer, savourant chaque petite parties de viande baignant dans la sauce et chaque légumes qu'il mangeait, les mâchant lentement. Il vida ensuite sa coupe d'un trait, s'essuya la bouche avec la serviette aux bords brodées de petit filigrane d'or et d'argent, en son centre était brodée aussi a l'or et a l'argent une grappe de vin, puis après s'être essuyé la bouche avec la serviette il reposa le tout sur la table et appela les serviteurs pour qu'ils débarrassent les couverts. Les serviteurs accoururent et l'un d'eux demandât au souverain du Dorwinion.

«Mon roi souhaite t-il un quelconque dessert?»

Le roi fît non de la tète et remerciât les serviteurs pour l'avoir débarrasser il se levât ensuite tout en rangeant sa chaise en dessous de la table et se dirigeât vers les portes de la salle, chaque pas de ce colosse de plus d'un mètre quatre vingt dix et pesant bien 95 kgs de pure muscle résonnait clairement dans la salle,avant qu'il n'arrive aux portes un serviteur se mit devant lui tout en tendant une bassine d'eau et une serviette, le roi se lava les mains et se passa de l'eau sur le visage afin de se rafraîchir, il faisait lourd dans la pièce un orage devait se préparer cela se sentait, le roi se dis que c'était une bonne chose que les récoltes soit finit, cette orage aurait retardé la récolte et le raisin aurait sûrement pourri sur la grappe, ceci aurait handicapé l'économie du Dorwinon, mais encore une fois il pouvait se féliciter d'avoir les meilleurs vignerons d'arda. Une fois le serviteur repartit avec sa bassine d'eau le roi pris la direction des portes d'un pas nonchalant et noble, se tenant toujours droit comme une personne de son rang se doit de le faire. Lorsque le roi sortit de la salle il se rendit compte que le nuit était déjà bien installer, les rayons rougeâtres du soleil avait laisser place a la clarté de la pleine lune qui donnait un aspect fantomatique a la cité, le roi remarqua alors que la chaleur de la journée c'était quelque peu apaisait, il faisait plus frais et cela était fort agréable, mais que le temps restait lourd tout de même. Le roi regardât autour de lui, depuis le palais il pouvait voir les quartiers d'Imlad Galen ainsi que les murailles entourant la cité, leurs pierre d'une blancheur presque égale a celle de Minas Tirith et les haut murs donnaient une impression de sécurité cela était réconfortant pour le peuples. L'on voyait les lumières des foyers des habitants de la capitale s'éteindre lentement et l'on voyait encore quelques hommes dans la rue, qui sortaient des tavernes et se hâtaient de retourner chez eux. Il y a des jours ou Pelendur aurait aimé être l'un de ses hommes, être forgeron, marchand ou encore paysan, avoir une famille qui l'attendait paisiblement tout les soirs et rentrait d'avoir labouré la terre heureux mais fatigué, fatigué d'une bonne fatigue physique qui donnait suite a un sommeil léger et serein, différent des nuits agitaient que passait le roi depuis qu'il était au pouvoir. Il se préoccupait de son peuple, les attaques des orientaux pouvant survenir a tout moment il pensait a la sécurité des citoyens, et cela lui causait quelque fois des insomnies. Il fut tiré de ses pensées par un chat qui passa non loin de lui, il se rappela alors qu'il avait a faire et se dirigea vers la chambre ou sa femme était en train de donné naissance à sa descendance. Il marchait lentement dans la nuit éclairer par la seule présence de la lune, son ombre le suivant à la trace, tandis qu'il marchait il réfléchissait, serait ce un fils ? Ou une fille ? Sa femme et l'enfant survivrait t-il tout deux ou devrait t-il avoir a affronter la perte d'un être aimé ? Tant de questions que seul l'avenir pourrait lui donner,avenir parfois heureux et lumineux, mais bien souvent triste et sombre...

Imlad Galen était fantomatique, cela en était presque inquiétant. Il faisait nuit, c'était la pleine lune, un homme traversa une rue d'un pas rapide, il passât devant une grande battisse , qui n'était rien d'autre que la caserne, ou les soldats de garde devaient roupiller en attendant leurs tours de relève. Puis cette homme continua sa route sans se soucier de ce bâtiment il marcha encore un peu avant d'arriver devant un grand bâtiment, moins imposant que la caserne mais tout aussi important, d'où on entend des cris d'une femme s'échapper d'une des fenêtres de l'étage, il avançât alors quelque peu anxieux pour la première fois qu'il était partit du palais royal, il tapât a la porte et rentrât sans attendre de réponse, il se dirigeât ensuite vers le premier étage puis vers la chambre, ou l'on entendait les cris de la femme. Dans la dite chambre où l'on entendais les cris, des servantes s'affairent autour d'un lit où était allongée une femme, une femme ravissante, des cheveux blonds et ondulées, rappelant les champs de blés en plein été ondulant sous le vent, et des yeux bleues, un bleue azur ; rien  qu'a la vision de ses yeux l'ont pouvait deviner que c'était une femme pleine de bonté et de sagesse. L'homme, rentra alors dans la pièce, il était heureux cela se voyait, un grand sourire couvrait ses oreilles, il dégageait de cet homme une aura qui forçait le respect, gardant comme à son habitude son air droit et fier, ajoutait à cela un visage magnifique, on aurait dis qu'il avait été dessiner par Eru lui même, oui vous l'aurait compris, nous parlons la de Pelendur, seigneur des vignes et roi du Dorwinion. Cet homme avait tout pour être heureux en cette soirée presque irréelle, sa femme était en train de lui donner un fils ou une fille, il se dis que si c'était un fils il serait le plus heureux des hommes il aurait un héritier au trône du Dorwinion, bien qu'une fille aurait pus elle aussi lui succéder il préférait un fils. Puis il fut tiré des ses pensées par les pleurs d'un bébé, son enfant venait de venir au monde. Les servantes lui tendirent le nourrisson tout en lui disant que c'était un garçon et en lui demandant comment il comptait l'appeler, le roi du Dorwinion pris le nouveau née dans ses bras, il était très  heureux, il tenait son fils dans ses mains, la chair de sa chair. Il savait maintenant qu'il pourrait mourir a n'importe quel moment, le trône du Dorwinion avait un héritier . Il réfléchit quelque secondes puis le tendit devant lui l'air triomphant et dit au sage femme:


«Calion! Il s’appellera Calion...»

Puis le roi ramena son fils contre lui, le serrant dans ses bras comme si il ne voulait jamais le lâché tout en rajoutant dans un murmure:

«Calion fils de Pelendur  le magnifique, descendant de la lignée des grand rois du Dorwinion et futur dirigeant des peuples du Dorwinion.»

Les servantes laissèrent alors les parents seuls une fois qu'elles se furent assurées qu'Honoria,  la mère de Calion, qui allait bien et ne montrait pas de «séquelles». Pelendur, se tourna vers sa femme et lui tendit le bébé, cette dernière souriait à pleine dent. Elle prit le bébé et murmura comme si elle parlait au bébé qui avait arrêté de pleurer.

«Calion, je sens que ta vie sera heureuse, tu grandiras dans le bonheur et je sens aussi que tu auras une grande carrière comme ton père.»

Ainsi naquit Calion fils de Pelendur, prince du Dorwinion....

Chapitre II: Le choix des tuteurs

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"Il n'y a rien de plus important pour un prince que sa formation, ses connaissances devrait être illimitées afin qu'il puisse gouverner son peuple avec sagesse, force, honneur et justice. Toutes ses qualités qui font d'un homme un roi, je me dois de les inculquer au fils de Pelendur, le jeune Calion, bien que ce ne soit encore qu'un enfant je sais qu'il aura une grande destinée et que ce sera par le futur sans nul doute l'un des personnages les plus influents dans le rhovanion, voir dans tout arda!"

Ambrosinus, philosophe du Dorwinion considéré comme l'homme le plus sage du rhovanion.


Cela ne faisait que quelques semaines que le petit Calion était né, il n'était qu'un nourrisson mais son père avait dors et déjà placé tout ses espoirs en lui pour lui succéder au trône du Dorwinion. Il voulait s'assurer que son fils serait prêt au moment venu de lui succéder, c'est pourquoi Pelendur le magnifique se concentrait déjà sur la formation future du jeune homme, il réfléchissait au tuteur qu'il choisirait pour lui. Les tuteurs n'étaient pas seulement des hommes qui s'occuperaient de l'éducation de Calion, ils lui apprendraient tout ce qu'un roi dois savoir pour bien diriger son peuple, Pelendur voulait aussi que le prince ai un maître d'arme, certes ce n'était pas la destinée de Calion d'être un guerrier, il n’excellerait peut être pas au combat comme certains guerrier émérite mais le roi voulait que le futur roi soit capable de se défendre. Il désigna alors quatre hommes pour le guider et l'éduquer jusqu'à ce qu'il soit roi. Parmi eux il a y avait trois érudits, sage et noble homme, des années d'expérience les précéder et Pelendur savait qu'ils seraient d’excellent maître pour son fils, restait le choix du maître d'arme. Pelendur était partagé entre différent guerrier, tous brillait de leurs talents martiaux et le roi ne saurait vraiment les départagé. Il voulait que ce soit le meilleur afin que son fils ai de bonne connaissances, il opta alors pour un homme, un natif du dorwinion, ancien capitaine des gardes prétoriens, nombreux easterlings, balcoths et autres orientaux avait succomber sous le coup de son épée ou de sa hallebarde, on disait que sa connaissance de l'art de la guerre était illimité et qu'il pourrait même battre des elfes en combat singulier. C'était un guerrier hors pairs qui avait des principes, l'honneur le respect et la dignité, comme tout les gardes prétoriens il menait une existence de guerrier et sa sagesse l'honorer, un guerrier hors pairs qui répondait au nom de Redoc. Il avait quitter son rang de capitaine des gardes prétoriens quelques années auparavant lorsque Pelendur lui proposa le poste de général en chef des armées afin de le seconder sur les tactiques militaires, il était très proche du roi, ce dernier le qualifierai même comme étant un ami très proche sur qui il pouvait compter en toutes circonstances. Le roi ayant pris sa décision fit convoqué les quatre hommes dans la salle du trône afin de leurs exposer sa décision et leurs demander leurs avis. Les trois érudits arrivèrent ensemble, discutant de chose qui dépassaient totalement Pelendur, tandis que Redoc était déjà présent et attendait patiemment la main poser sur la garde de son épée, cela lui changeait de ne plus porter le lourd bouclier de fer et sa longue hallebarde d'acier, mais juste une épée richement décorée réservée pour les officier du Dorwinion. Après les habituelles révérences et salutations le roi fit signe au quatre hommes de s'asseoir et commençât a parler :

«Messieurs, vous n'êtes pas sans savoir qu'il y a maintenant deux semaines de cela ma femme Honoria mis au monde le prince Calion, étant pour le moment, mon seule héritièr j'ai dans l'intention de le former afin qu'il devienne a ma mort le roi du Dorwinion. C'est pourquoi je vous ai fait venir ici aujourd'hui, j'ai longtemps réfléchit a ceux qui pourrait être capable de donner a mon fils une éducation presque parfaite pour qu'il soit un jour un roi juste et noble, tel son père. Après de nombreuses heures de réflexion j'ai donc choisit de reposer toute ma confiance sur vous quatre.»

Le roi marquât une petite pause afin de regarder ses interlocuteurs et d’interpréter leurs réactions, tous avaient l'air ravis d'apprendre cela, il but une petite gorgée de vin avant de continuer.

«Je sais que vous êtes des hommes sage, et que vous ne me ferez pas défauts a cette mission. J'ai toutes confiance en vous et je suis certains que l'éducation que vous apporterez a mon fils sera la plus complète possible. Et je suis aussi certains que lorsqu'il me succédera sur le trône il sera digne d'être roi grâce à vos enseignements. Bien sur vous êtes en droit de refusez cette proposition et je me tournerais vers d'autres. Qu'en pensez vous messieurs?»

L'un des trois érudits se leva et regardât le roi du Dorwinion, il se tourna vers ses deux confrères avant de répondre :

«Sire, je pense parler ici pour moi et mes deux confrères en disant que vous nous voyez ravis et honorés que vous nous ayez choisis pour cette mission, nous acceptons bien évidemment d'éduquer et de prendre en charge le prince Calion, nous lui enseignerons toutes nos connaissances et tout ce qu'il doit savoir afin de pouvoir gouverner de manière exemplaire. Je vous remercie de nous donnez votre confiance quand a l'éducation de votre fils bien aimée et vous nous voyez extrêmement flattés de cela.»

L'érudit fit une petite révérence et se rassit après avoir parler, Pelendur tourna alors la tète vers son ami Redoc qui était assis un peu en retrait des érudits, comme toujours il gardait son air impassible et l'on ne pouvez deviner ce qu'il pensait ni même si il était heureux d'avoir été choisi. Il se leva la main toujours poser sur la garde de son épée, prêt a la dégainée a tout instant, comme à son habitude.

«Sire comme l'a dit ce cher érudit dont je ne sais pas le nom, je suis honorez et flatté que vous ayez penser a moi pour l'éducation de votre fils. Je me ferait un plaisir d'enseigner a ce chère Calion et de lui transmettre tout mon savoir sur l'art de la guerre et du combat ainsi que mon savoir sur les armes, car comme vous le savez selon moi un roi doit être a même de se défendre seul. Je ferez tout ce qui en mon pouvoir pour ne pas vous décevoir, et comme je l'ai fait pour vous je fait le serment de servir et de protéger votre fils, jusqu'à la mort si il le faut.»

Après avoir dis cela le guerrier se rassit, le roi se voyait flatté d'avoir eu ce serment, il connaissait la fidélité inébranlable des gardes prétoriens et savait que pour ces hommes ce genre de serment était sacré. Pelendur savait qu'en disant cela Redoc était prêt a défendre son fils Calion jusqu'au bout, jusqu'à la mort s'il le fallait. Le roi acquiesçât de la tète et vida sa coupe de vin avant de reprendre la parole.

«Très bien, puisque tout le monde est d'accord je vais vous faire installer au palais royal. Je vous ferez signe quand je jugerais que Calion sera prêt a commencé son éducation, d'ici la vous serez libre de faire ce que bon vous semble messieurs. Bonne journée a vous et que votre sagesse nous illumines en ce bas monde.»

Les érudits se levèrent et firent tour à tour une révérence avant de se diriger vers la sortie de la salle du trône, en bavardant de chose et d'autre. Redoc quand à lui se leva et approchât de son ami et roi. Il le regardât longuement avant de parler :

«Mon ami, es tu surs que ces trois hommes la soient vraiment ceux qu'il faut a ton fils, Calion,  pour recevoir un enseignement digne de celui que tu as reçu toi ? Je sais que tu as déjà nommé ton ami Ambrosinus comme étant son précepteur, je trouve cela bien. Mais j'ai des doutes concernant ces trois « sages », après ce ne sont que des nobles, la seule chose qui les intéresse est l'argent et le pouvoir. »

Le roi regardât son ami Redoc tout en se resservant un verre de vin, quand il eu finit de verser il posât délicatement le pichet sur le plateau, le bruit du pichet d'argent touchant le plateau d'or résonnât d'un son presque imperceptible dans la pièce. Pelendur leva sa coupe et la porta doucement a ses lèvres, avalant une petite gorgée de vin. Il reposa la coupe et garda le vin en bouche quelque secondes afin de pleinement le savourer. Il était parfait, comme le roi l'aimait, fruité a souhait sans pour autant être trop sucré ni amer, un vin doux et délicieux, qui était un plaisir pour les palets. Il rebut une deuxième gorgée avec plaisir tout en réfléchissant a ce qu'il aller répondre a son ami Redoc qui le regardait inlassablement, toujours dans la même position.

«Je n'ai peut être pas fait le bon choix en effet, mais qui peut le savoir ? Nous faisons tous des erreurs et ce n'est qu'après coup que l'on s'en rends compte mon ami. Peut être ai je fait le bon choix, peut être le mauvais. Seul l'avenir nous le dira, mais j'ai l'intime conviction que ses trois hommes la sont des hommes de confiance et que Calion deviendra un grand roi, aimé et respecté par ses alliés et craint de ses ennemis. Qu'il saura débarasser le Dorwinion de la menace omniprésente des orientaux. Et qu'il sera être juste et bon dans ses jugements. Mais cela seul l'avenir le dirat mon ami. »

Redoc resta pensif tout en regardant les joyaux incrusté dans la coupe de vin de Pelendur il tapota légèrement la garde de son épée du bout des doigts.

« Soit si tel est ton choix je m'y plierait, mais je n'ai pas la conscience tranquille et surveillerait les faits et geste des ces trois la a chaque fois que j'aurai le temps nécessaire pour le faire, je ne voudrais pas qu'un complot en vienne a détruire ce pourquoi vous vous battez mon seigneur. Maintenant je te laisse mon ami, j'ai a faire a Gobel Parth. Au revoir et au plaisir de te revoir prochainement. »

Pelendur regarda son ami faire demi-tour et se diriger vers la sortie, le général en chef marchait d'un pas lent, nonchalant, sa cape verte brodée de fil d'or le suivait traînant lentement et paresseusement sur le sol de marbre de la salle du trône. Lorsque le battant de la lourde porte se referma, derrière Redoc le roi murmura comme si Redoc était encore dans la  pièce juste a coté de lui.

«Au revoir mon ami, au plaisir de te revoir rapidement. »

Puis Pelendur vida sa coupe de vin d'une traite, se leva lentement de son trône, réajusta sa cape sur son dos et sortit lentement, chaque pas de ses bottes au semelles de fer sur le marbre résonnait dans la salle  comme si une armée entière se déplaçait dans cette vaste, spacieuse et luxueuse pièce, puis il sortit de la salle de trône et se dirigeât vers ses appartements...

Chapitre III: Othar, une venue inattendue

Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion 314

"Je n'ai pas été formé par mon père pour prendre la tète du royaume a la place de mon frère, non mon père, notre père à moi et Calion, savait ou du moins sentait au plus profond de lui que Calion était destiné a devenir un grand homme, un homme dont on parlerais encore dans le futur. Mon père avait pour moi un tout autre dessein, en effet il m'avait formé de la manière qu'il avait jugé la meilleure pour moi. Il m'apprit la politique, l'économie, les stratégies militaires du Dorwinion et beaucoup d'autre chose encore. Mais si il m'avait appris tout çà ce n'était pas pour que je soit roi à la place de Calion. Il espérait que je serait la pour conseiller et soutenir mon frère en toutes épreuves, dans le meilleur comme dans le pire. Calion était mon frère, un homme que j’idolâtrai, il était pour moi comme un modèle, sa droitesse d'esprit et son sens de la justice me guidait sur ses traces. J'apprit rapidement les mêmes valeurs que lui, et aussi à penser et a raisonner comme lui, notre sang commun m'aidant certainement a cela. C'était mon rôle de prince royal de le seconder, de le conseiller quand il ne savait pas quoi faire, ce qui était rare voir inexistant, et de le soutenir moralement quoi qu'il arrive. Je ne jalousait en aucun cas mon frère, je savait qu'il était sur ce trône parce qu'il le méritait, et que ces actes depuis qu'il en avait hérité avait prouvé qu'il était digne d'être considéré comme l'un des plus grand rois du Dorwinion."

Othar le juste, prince royal du Dorwinion et frère de Calion II

Partie I: Une nouvelle bouleversante

Calion n'avait guère plus que 4 ans lorsque cela arrivât, son père Pelendur n'avait vraiment pas prévu cela, un événement inattendu qui bouleverserait la vie du roi du Dorwinion. Pelendur était dans la salle du trône  en train de parler avec Redoc le général des armées des affaires militaires du pays du vin.  A l’extérieur le soleil était a son zénith, inondant la capitle Imlad Galen de lumière et de chaleur. L'activité extérieur battait son plein, l'on entendait du palais royal les marteau frappant le métal poser sur l'enclume, bruit produit par les forgerons de la ville en pleine labeur,  torse nues sous leurs lourds tabliers de cuir, placé a côté de la fournaise qui servait a chauffer le métal, les forgerons frappaient inlassablement le métal, lui donnant forme petit à petit le métal se déformait, formant une lame. Un commis trempa alors l'épée dans un fut d'eau qui dégageât immédiatement de la vapeur fruit du choc brutal de température que le métal avait subit. Une fois la lame refroidie le commis la donna au forgeron qui s’appliquerait a faire la garde de l'épée, la sertissant de quelques joyaux de valeurs. Un peu plus loin dans la cité un commerçant venu tout droit du royaume easterlings tentait en vain de vendre des épices, baissant toujours un peu plus les prix, faisant des prix de groupes. Il tentait par tout les moyens de réussir a gagner un peu d'argent avec ses condiments qu'il avait du acheter a un prix élevé dans le royaume voisin. Un peu plus loin encore dans la cité les gardes faisaient leurs rondes habituelle, transpirant et suffoquant dans leurs lourdes armures de fer, pestant contre leurs chef de les avoir mis au poste de garde aux horaires ou le soleil était le plus insupportable. Plus loin, derrière les murs en dehors de la cité on entendait les bœufs qui beuglaient, tirant une houe, une charrette ou encore une charrue ; les paysans des alentours se dépêchaient de finir les semailles, tentant comme ils pouvaient de se protéger des rayons du soleil, bien qu'habitués au travail d'extérieur par des températures chaudes ils avaient toujours un peu de mal à supporter totalement le soleil cuisant. Un de ses paysans étaler son fumier, fruit du mélange des excréments des bovins et de la paille de céréales, dans un champs qu'il comptait semer après. Ses gestes répétitifs étaient précis et calculé, il plantait sa fourche de bois dans le tas et en un mouvement circulaire lancé son chargement a travers le champs, qui retombait en formant une petite couche noire et malodorante, il ne fallait pas que çà fasse de « paquet » car sinon une fois labourer il pourrirait sous la terre et amènerait de l'acidité au sol, si le sol était acide on ne pouvait rien faire pousser dessus, et cela les paysans le savait, mais la terre du Dorwinion était une bonne terre a culture, fertile à souhait, ni trop spongieuse ni trop sèche elle laisser filtrer l'eau a quelques mètres sous terre, et retenait l'humidité afin de pouvoir abreuver a souhait les racines de la plante, qui pousserait alors abondamment dans les petites parcelle carré des alentours de la capitale du Dorwinion. La terre du Dorwinion était une terre faites d'une grande part de limon fin et d'un peu d'argile, le parfait mélange de terre dont un paysan puisse rêver, avalant son lot de fumier absorbant les nutriments nécessaires pour nourrir la plante, les rendant au racines aux moments ou elles en avait le plus besoin. Les parcelles en pente de ce pays un peu plus caillouteuse que celle en plaine était propice au bon développement des pieds de vignes, c'est d'ailleurs cela qui valut la réputation du Dorwinion dans bien des pays : son vin. Un breuvage longtemps concurrencer par les elfes mais jamais égaler, les artisans vignerons du Dorwinion bénéficiaient d'un savoir faire hériter de leurs ancêtres, capables de transformer un simple raisin en une véritable explosion de saveur pour les palets. C'était connu, les meilleurs vin du monde venait du Dorwinion, et le meilleur vin du Dorwinion était réservé et partait directement après la mises en fût dans la cave personnelle du roi. Ce breuvage rouge réserver aux plus riches hommes du monde était inégalable, les autres vins paraissait amer et fade a côté de ceux du Dorwinion, n'importe quel homme ayant goutté au vin du Dorwinion ne pouvait dire le contraire. Une gorgée de ce vin aurait réveillé les sens du plus endormie des hommes, il était fort fruité sans être trop amer, bien que le soleil extérieur taper fort contre les vitres du palais réchauffant l’atmosphère de la pièce, le vin restait frais. Vin que le roi versa lentement dans son verre, admirant le liquide rouge vif qui coulait du pichet. Il posât ensuite le pichet après verser deux coupes et en tendit une a Redoc son ami et général. Pelendur avala une gorgée de vin, ce qui eu pour effet de le rafraichir, une goutte de sueur coula de son front, dévalant le long de sa joue et allant chuter sur les genoux du roi qui était assis sur son trône. Le père de Calion avait chaud, trop chaud, la chaleur le faisait suffoquer et sa respiration était saccadée. Il buvait une nouvelle gorgée de vin et allait parler lorsqu'un messager fit irruption dans la pièce...

Le messager était en sueur, bien qu'il ne portait pas d'armure le soleil qui tapait à l'extérieur de la cité et réchauffait l'atmosphère était particulièrement gênant, l'air était lourd et l'on suait facilement. Des grosses gouttes de sueur coulaient du front du messager, contournant ses yeux d'un bleue éclatant pour couler le long de ses joues et s'écraser sur le sol. Ses long cheveux châtain clairs coiffé en queue de cheval retombait sur son dos, il était habiller des habits traditionnelle du Dorwinion, un pantalon en étoffe verte avec des filigranes brodé d'argent et d'or, un haut en soie de la même couleur et brodés lui aussi, une cape verte avec une grappe de raisin, symbole du Dorwinion, gravé au fil d'argent, et une ceinture en cuir de bœuf décorée de fil d'argent elle aussi. Ce messager devrait être issu d'une famille noble, vu la richesse et le beauté de ses habits. Pelendur reconnut sur son torse les armoiries de la famille de Rothos, le plus riche marchand du Dorwinion et ami de Calion. L'homme qui paraissait plutôt jeune devait être Athos son fils, Pelendur se demande ce que pouvait bien lui vouloir cette homme. Le jeune marchand se rapprocha du roi et de son général, il posat un genou à terre et baissât la tète, il commençât alors a parler.


«Bonjour à vous mes seigneurs, puis je parler ? »

Pelendur fut étonné, il était maintenant rare de voir des messagers qui avait encore le respect de leur roi et demander la permissions plutôt que d'attendre bêtement sans rien dire que le roi daigne l'écouter. Il n'y a pas de doute, c'était Athos le fils de Rothos, pour être si bien éduquer et avoir un port si noble. Pelendur posa sa coupe de vin sur le plateau a côté de lui, posât ses coudes sur les deux accoudoir en chêne massif richement décorés du trône et posa ses mains sur son menton.

«Bonjour à toi jeune Athos, ravi de te revoir cela fait bien longtemps que je n'ai pas revu mon ami Rothos, j’espère qu'il se porte bien. Relève toi, et dis moi donc pourquoi je te retrouve ici a des lieux de ta demeure et de ton vignoble a me demander audience ? »

Le jeune marchand qui servait la de messager se relevât, il regardât son roi avec un sourire avant de parler.

«Eh bien c'est une assez longue histoire pour le fait de ma présence sire, mais je suis venu pour affaire à la demande de mon père. Et en arrivant dans le palais j'ai vu Honoria votre femme, elle vous cherchait m'a t-elle dis. Sans doute souhaite t-elle vous parler d'un quelconque sujet important. Elle m'a demander de vous transmettre ce message et de vous dire qu'elle vous attends dans vos appartements pour parler. Ensuite j'ai un message de la part de mon père, il vous invite à son banquet habituel de fin de récolte, cette année a été particulièrement bonne pour les vignerons et mon père souhaite fêter  cela comme il le faut. Voilà, mon message a été délivré, maintenant avec votre permission puis je me retirer ? J'ai encore à faire a Imlad Galen avant de m'en retourner à mon foyer. »

Pelendur regardât son ami Redoc avec un air interrogateur, Honoria voulait lui parler qu'avait elle donc de si important à lui dire qui ne pouvait attendre ce soir . Il regardât Athos et croisa les bras tout en réfléchissant a ce que sa femme pouvait bien lui vouloir. Il répondit d'un air distant au fils de Rothos.

«Bien, bien, dis à ton père que je lui ferait l'honneur de venir à son banquet et transmet lui mes salutations. Oui tu peux te retirer je ne te ferais pas perdre plus de temps. Va jeune Athos et je te remercie pour avoir porter le message. Puisse le vent être dans ton dos pour que tu rentre au plus vite chez toi ! »

Le jeune athos fit une révérence tout en murmurant un « merci » avant de faire trois pas en arrière et de se retourner pour sortir de la pièce, comme le voulait la tradition. Redoc regardait son roi l'air pensif, il devait lui aussi s'interroger sur le fameux sujet si urgent dont sa femme voulait lui parler. Le général bu une petite gorgée de vin  et regardât son roi et mi qui avait l'air préoccupé.

«Vas y, va la voir je vois que tu te demande ce qu'Honoria veut te dire, çà ne sert à rien de te poser des questions qui n'auront pas de réponses, le mieux est que tu ailles la voir. Ne t'inquiètes pas pour les stratégies de défense, je finirait seul et convoquerais les différents commandant pour leur expliquer. »

Pelendur se levât encore pensif, il s'approcha du général et posa sa main sur son épaule tout en le regardant dans les yeux.

« Merci mon ami, encore une fois je ne saurai t'être reconnaissant de tout ce que tu fais pour moi. Que ferait je si tu n'étais pas la ? »

Redoc sourit et posât a son tour sa main sur l'épaule du roi.

«Rien, mais je suis la j'ai jurer serment envers toi et ton fils. Et je le respecterai quoi qu'il arrive je t'épaulerais et t'aiderais du mieux que je peu et je protégerai ton fils, même si je dois en mourir. Car tel est mon serment »

Pelendur acquiesça tout en retirant sa main de l'épaule de son général, il se dirigeât vers la sortie lentement, chaque pas le rapprochant un peu plus de la porte, lorsqu'il arrivât sur le pas de la porte il se retourna.

«Je ne t'en serai jamais assez reconnaissant Redoc, tout ses sacrifices que tu es prêt a faire pour moi, pour le Dorwinion. C'est une chose très noble et je suis heureux et fier de t'avoir à mes côtés.»

Puis il passa la porte qui se referma derrière lui, laissant Redoc seul dans la pièce avec ses plans et stratégies militaires...

Pelendur sortit du palais royal d'un pas lent, il regardât le soleil qui était a son point le plus haut dans le ciel, c'était une belle journée, il aurait tant voulu en  profiter pour passer du temps avec son fils, mais malheureusement le royaume lui prenait pas mal de son temps libre et lorsqu'il avait un peu de temps il était trop fatigué pour pouvoir jouer avec le petit Calion, bien sur il passait du temps avec lui, de temps en  temps il prenait une journée ou il laissait Redoc son général et ses conseillers régler les petits problèmes du royaume afin de pouvoir s'occuper de lui. Mais cela était de plus en plus rare, en effet les éclaireurs des royaumes adjacents a celui du Dorwinion avait remarqué une activité militaire en hausse ces derniers mois, il n'y avait aucun doute les orientaux préparaient une attaque, ou nul ne le savait mais il y avait fort a parié que le Dorwinion était une des cibles potentielles, la preuve il y  a quelques jours une troupes de guerriers easterlings avait tenté de s'infiltrer et de détruire un village, malheureusement pour eux la milice les avait repérés et avait pus les retenir en attendant qu'un groupe de soldat réguliers arriver pour éradiquer cette petite troupes. Depuis Pelendur gérer les armées et avait fait mettre en place des patrouilles au frontières afin de pouvoir prévenir de ce genre d'incident. Le roi fut tiré de ses pensées brusquement, il venait de se rappeler que sa femme voulait lui parler, il se tourna alors vers l'aile sud du palais royal, la ou ce trouvaient ses appartements, puis il commençât a marcher sur le chemin pavé blanc ou deux rangées d'arbre était disposée de chaque côté, il y faisait frais l'ombre des arbres protégeait des rayons du soleil. Il marchait lentement, ses pas était réguliers et ses botes de cuir ne faisait aucun bruit sur la craie qui formaient le chemin, il croisa quelques dames sur le chemin, les femmes des généraux et conseillers, ainsi que des gens haut placés du dorwinion. Il croisât aussi quelques écuyers qui se dépêchaient d'aller aux écuries pour préparer le cheval de leurs seigneurs, sans doute partaient t-il pour la chasse. Puis une fois qu'il approcha de ses appartements il ne croisât plus aucun civil mais des gardes prétoriens qui faisait des rondes aux alentours des quartiers du roi, en effet Pelendur avait renforcé sa sécurité depuis une tentative d'assassinat ratée, il avait ajouter des tours de gardes dans le palais et doubler les effectifs, il n'y avait maintenant pas moi de 500 gardes prétoriens, unité d'élite suprême du Dorwinion, qui patrouillaient dans le palais pour garantir la sécurité du roi et de ses sujets. Lorsqu'il arrivât a la porte qui donnait sur se quartiers il regardât autour de lui afin de s'assurer que chaque hommes était à son poste, les deux gardes placé de chaque côté de la porte le saluèrent lorsqu'il passât dans l'embrasure de celle ci. Une fois a l'intérieur il respirât le doux et frais parfum que dégageait les fleurs disposé dans son entrée, des roses elles étaient fort odorante et cela était un plaisir pour les narines. Puis il se dirigeât vers le grand escaliers de marbres pour monter dans la chambre, ou sa femme l'attendait. Lorsqu'il entrât dans la chambre Honoria était assise sur le lit, elle souriait et avait le regard perdu dans le vide, elle ne se rendit pas compte de la présence de son mari dans la pièce. Le roi regardât sa femme, mal grès les années elle était toujours aussi belle bien que ses derniers temps Pelendur trouvait qu'elle prenait un peu de ventre, ses cheveux blond bouclés faisant pensé a un champ de blé ondulant sous le vent et ses yeux bleues, un bleue pur ou l'on décèle l’innocence et la sagesse infinie, son sourire resplendissant, rien que le fait de la voir suffisait a Pelendur pour être heureux. Il s’approchât lentement de sa femme qui sursauta lorsqu'elle perçut les mouvements de son mari, elle le regardât  avec un grand sourire et lui demanda de s'asseoir, elle pris sa main dans les siennes et le regardât longuement, en cherchant ses mots, elle ne savait comment lui annoncer la nouvelle. Puis elle se lançât, elle trouvât le courage de parler en regardant les yeux noirs plein de curiosité de son mari.


«Mon amour, aujourd'hui est un grand jour pour nous deux, j'ai une très bonne nouvelle a t'annoncer. Je reviens du guérisseur, ce matin je me sentais pas bien, il m'a donner quelques herbes médicinales, et il m'a dis que c'était normale que je n'était pas bien, car je... »

Elle pris un grande respiration, comme si les mots lui restaient bloqué dans la gorge, Pelendur était de plus en plus curieux, elle ne pouvait pas s’arrêter de lui parler maintenant, soit elle en avait trop dis, soit pas assez mais dans les deux cas elle devait finir de lui dire cette nouvelle si importante.

 «Pelendur, j'attends un enfant, le guérisseur a dis qu'il n'y avait aucun doute possible, je suis enceinte ! Calion va avoir un petit frère ou une petite sœur, n'es ce pas merveilleux ? »

Pelendur regardât sa femme, c'était merveilleux en effet, sans doute l'un des plus beau jours de la vie du roi du Dorwinion, lui qui avait longtemps espérer avoir une famille il n'aurait pus être plus heureux, d'abord Calion ensuite Honoria qui lui annonce qu'elle est de nouveau enceinte. Pelendur ne savait quoi dire, des larmes coulèrent sur ses joues tant il était heureux, il serrât fort la main de sa femme dans la sienne et posât son front sur le sien tout en lui murmurant.

«Oui c'est une merveilleuse nouvelle, j'ai l'impression de rêver, je ne sais quoi te dire, si ce n'est que je ne pourrait être plus heureux qu'aujourd'hui.»

Puis il embrassa sa femme et ils restèrent tout deux assis la a discuter, ils parlaient surtout de l'enfant qui allait arriver, Pelendur cherchait déjà un nom pour son futur fils ou sa future fille. En réalité il était quelque peu stresser a l'idée d'avoir un deuxième enfants, il ne savait si il était un bon père ou pas, il ne savait si il serait à la hauteur. Pour la première fois de sa vie le roi du Dorwinion ,que l'on connaissait si sur de lui et confiant, doutait de lui...

Partie II: Un enfant miraculé

Quelques mois c'étaient écoulés depuis qu'Honoria avait annoncer la nouvelle a son mari Pelendur . Le roi avait été bouleversé par cette nouvelle et ont disait que chaque jour on le voyait plus heureux et rayonnant que par le passé, il avait changé, il prenait maintenant plus de temps pour s'occuper de son fils Calion et de sa femme dont la grossesse arrivait a terme, il prenait le temps de profiter de sa famille, il laissait une partie de la gérance du royaume a son ami et conseiller Rothos, il savait que c'était un homme de confiance et que sa loyauté envers le Dorwinion était infaillible, le côté militaire était géré par Redoc, qui travaillait d’arraché pieds pour maintenir la menace des orientaux en dehors des frontières du royaume, il avait mainte fois repoussé des petits raids de la part des Balcoths ou des easterlings, il avait même réussi a faire un petit raid en campagne Balcoth et a piller quelques villages, afin de dissuader l'ennemi d'attaquer et de leur montrer que le Dorwinion était militairement capable de les repousser. Pelendur lui de son côté avait envoyé des messagers a tout les grand nobles et seigneur du royaume pour leur apprendre la nouvelle de la grossesse de sa femme, partout dans le royaume on ne parlait plus que de cela, l'on spéculait, certains espérer que soit un garçon d'autre une fille. De somptueuse fêtes étaient données chez les nobles en l'honneur  de Pelendur de sa femme et de l'enfant à venir. Sans oublié Calion bien sur. Le jeune prince vivait heureux, apprenant grâce a Ambrosinus beaucoup de chose, la philosophie, la justice. Calion adorait Ambrosinus et le voyait plus comme un oncle qu'un professeur. Ses autres tuteurs lui apprenait les matières un peu plus ennuyantes, comme par exemple l'arithmétique, la géographie ,choses auxquelles Calion ne s’intéressait que peu. Il était en revanche passionné par l'histoire et n'hésitait pas a aller dans les archives du royaume pour en apprendre plus sur le passé de son peuple et sur ses ancêtres. Il aimait beaucoup aussi les cours que lui donnait Redoc, il se révéla rapidement être un excellent bretteur. Son père était très fier de lui et ne cessait de le féliciter. Mais Calion savait aussi que dans quelques il devrait partager ses tuteurs et ses parents avec un ou une autre, son père lui avait expliqué et même si le prince appréhendais un peu la venue de ce petit frère ou petite sœur il était tout de même heureux, il voyait le bon côté des choses, même s'il devrait partager il aurait quelqu'un avec qui jouer. Le temps passait, Calion se demandait quand arriverait cette personne dont tout le monde parlait et ne cessait de poser des questions a ce sujet a Ambrosinus. Puis le grand jour arrivât,Pelendur était tendu, sa femme était parti a la maison de soin, la ou vivait les meilleurs guérisseur du Dorwinion. Et il ne pouvait aller la voir tout de suite car des affaires urgentes concernant le royaume  le retenait au palais royal.  Une fois que tout les problèmes furent réglés le roi se hâtât d'aller retrouver sa femme qui était en train de donner naissance a leurs deuxième enfant. Lorsqu'il rentrât dans la maison de soin il regardât autour de lui, des hommes et des femmes s'affairaient dans tout les sens, apparemment cela ne se passait pas comme ils le voulaient, Calion se dépêchât alors de se rendre dans la chambre ou Honoria était en train d'accoucher. Il ne savait pas ce qui se passait mais en écoutant les guérisseurs l'enfant serait sûrement mort née. Pelendur commençât alors a stresser, il espérer profondément que les guérisseurs se trompaient, ou que l'enfant survivrait. On vit alors la tète du nourrisson, puis le reste du corps suivit rapidement. Il en pleurait pas et était inconscient, les larmes commencèrent a couler sur les joues du roi, sa femme Honoria était aussi en pleur. Les guérisseurs tentèrent de le réanimer, plus le temps passait plus le roi perdait espoir. Puis contre toutes attentes le nourrisson commençât a bouger et a gémir faiblement, il était vivant, c'était le principal. Les guérisseurs demandèrent au roi comment il comptait l'appelé en lui disant que c'était un garçon.  Pelendur regardât le nourrisson  il savait déjà comment il voulait l'appeler, il regardât le guérisseur et lui répondit dans un murmure.

« Othar ! Othar le miraculé. C'est ainsi qu'il s’appellera.»

Le guérisseur acquiesça et se retourna vers le prince qui venait juste de naître. Un autre guérisseur vint alors voir le roi.

«Sauf votre respect sire, pour le bien et la survie de votre fils il faudrait qu'on le garde quelques jours ici avec nous, pour s'assurer qu'il est hors de danger, sa naissance a été particulièrement difficile et il est possible que lui et votre femme en garde des séquelles, c'est pourquoi nous voudrions les garder tout deux ici. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient.»

Le roi regarda tour à tour sa femme et son fils, quelque peu soucieux avant de reporter son attention sur le guérisseur.

« Oui vous pouvez, faites ce qu'il faut pour les garder tout deux en vie. »

Le guérisseur acquiesça et s'en retournât s'occuper de ses deux patients, Pelendur quand à lui repartit lentement au palais, il était éreinté et ne sentait plus ses jambes, il avait besoin d'un bon sommeil, la naissance de son fils avait été un moment particulièrement difficile et fort en émotions...

¤ Caractère:

"Mal grès que j'ai voyager beaucoup a travers le monde je ne vis nul homme plus sage que Calion II. Ce grand roi était disposé de facultés qui ne cesseront jamais de m’impressionner. Son calme sidérant face a toute situations, ses raisonnements et réflexion poussé a chaque décision qu'il prends, la sagesse avec laquelle il prends ses décisions, son sens de l'honneur et de la justice. Toutes ses valeur qui font d'un homme un roi, Calion les avait, il n'avait en effet rien a envier au plus grand rois d'arda. Il ressortait de ce roi intelligent et noble un certains charisme, une sorte d'aura, qui réchauffait les coeurs quand il était présent on se sentait comme plus léger, serein. Ce n'était pas la le fruit d'une quelconque magie non, mais le fruit de ses paroles, de ses actes, et nul homme censé ne saurait rester avec Calion et dire le contraire. Ce roi était charismatique et il avait un talent d'orateur hors normes, il savait redonner le courage aux hommes et réchauffer le coeur des foules. Alors certains diront qu'il n'était qu'un simple roi a moitié fou d'un pays éloigné au nom méconnu de la plupart des gens de ce monde, a tout ceux la je leur répondrait: Non, ce roi était quelqu'un de censé, de puissant et d'influant a travers le rhovanion, et nul autre roi qui le connut ne dirait que ses actes étaient irréfléchis ou irresponsable!"

Athos, noble et marchand du Dorwinion


Calion était considéré comme quelqu'un d’extrêmement sage et avisé. Il ne perdait jamais son sang froid ni ne s'énervait. Et chaque chose qu'il faisait était mûrement réfléchie. Il était loin d'être quelqu'un d'imprudent et colérique. Son calme était devenue légendaire dans le Dorwinion, et son sens de la justice faisait de lui un roi respecté et admiré par son peuple.


¤ Physique:

Calion pris plus des traits de sa mère que de ceux de son père, il était blond aux yeux bleues et avait un visage assez carré tout cela il le tenait de sa mère. Tandis que sa taille et sa musculature il le tenait de son père. C'était un véritable colosse et certains disent qu'il pourrait broyer l'épaule d'un enfant d'une main si il le voulait. Mais bien qu'il soit impressionnant physiquement il n'était pas homme a être violent pour le plaisir, il répugnait cela a vrai dire et préférait éviter les combats, bien qu'il soit un excellent épéiste redouté dans tout le Dorwinion pour ses prouesse avec une lame.

¤ Camp:

"Nul homme ne devrait avoir a choisir un camp, en effet chaque homme est libre de ses actes et il ne devrait être en aucun cas jugé comme un personne bonne ou mauvaise. Chaque être de ce monde dispose de son libre arbitre, il est donc libre de s'imposer sa propre ligne de conduite, qu'elle paraisse juste ou cruelle aux yeux des autres. C'est ce que je clame haut et fort et moi Calion II déclare que ma ligne de conduite est celle que j'ai choisit, pour moi et pour mon peuple. Que les autres rois où même les nobles de mon pays voient cela comme une trahison, une perfidie ou bien même une calomnie, je n'en ai cure de leurs avis. Car j'ai choisit une cause, que je considère comme étant juste, qui me tiens à coeur, c'est pourquoi je considéré qu'elle mérite que l'on ce batte pour elle cette cause est simple et se résume en un seul mot: la liberté. Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme, et aucun homme roi ou paysan, riche ou pauvre, bon ou mauvais,  ne me fera plier et ne pourra me forcer a adopter sa propre cause ni même a abandonner mes idéaux!"


Calion II le majestueux, roi marchand du Dorwinion

Neutre

¤ Parentée et personnes proches:

"On reconnait la valeur d'un homme à ceux dont il s'entoure."

Calion II le Majestueux, roi marchand du Dorwinion.

Fils de Pelendur, petit fils de Calion I le grand. Descendant de la lignée de Bladorthin. Frère de Othar, prince royal du Dorwinion et mari de Tania reine du Dorwinion. Amir de Redoc, général en chef des armées du Dorwinion et de Rothos, riche marchand du Dorwinion.
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Message  Dwyngéïr Fhyringeld Ven 3 Oct - 23:20

Chapitre IV: La mort d'un roi, le sacre d'un nouveau souverain!

Calion II le Majestueux, Roi marchand du Dorwinion 216

"Il y a des choses pire que la mort elle même,  et aujourd'hui je suis confronté à cela, j'ai toujours craint la mort. Pas que j'ai peur de mourir, non, la mort ne m'effraie pas, elle est pour moi la continuité de la vie, je la voyait comme un cap a passer plutôt que la fin de tout pour nous. Non je ne craignais pas ma mort, mais celle de qui me sont proche, en effet il y a pire que de souffrir d'une blessure ou de  se dire que l'on va mourir, j'ai vécu la pire chose qu'il puisse arriver a un homme sur cette terre. Croyez moi, la douleur, les blessures tout cela est une chose dérisoire. J'ai vu quelqu'un de très proche de moi mourir au combat. Le roi Pelendur mourut devant mes propres yeux, je me rappellerai toujours du corps inerte de mon père gisant sur le sol, maculé de sang, et je vous garantit qu'a l'instant ou j'ai vu son corps sans vie s’effondrer sur le sol j'ai pris conscience de la vrai définition du mot douleur. Une blessure quelconque on finit toujours par s'en remettre, mais ce genre de douleur, ne peut s'effacer elle reste à jamais graver dans votre mémoire, et aucun ne peut se passer sans que vous y pensiez. C'est la dureté de la vie et, malheureusement cela arrive à tout le monde, mais à partir d'aujourd'hui, je fait le serment solennel de combattre les forces du mal et de restaurer la paix sur ce monde, afin que chaque être humain puisse vivre pleinement sa vie et meurt d'une mort naturelle, douce et non prématurée et brutale. La guerre est la pire horreur qui puisse arriver au monde, et bien que mon peuple l'ait toujours éviter, je me vois aujourd'hui face a la triste réalité, même nous ne pouvons échapper à cela. Alors j'ai décidé d'aller au devant de tout cela, je m'engage dans une campagne militaire afin d'empécher aux forces ténébreuses de Sauron et ses serviteurs de venir s'emparer du Dorwinion et de tout les autres pays des peuples libres survivants plutot que d'attendre que les forces maléfiques de ce monde viennent raser notre royaume et effacer nos vies de la surface de ce monde."

Calion II, roi marchand du Dorwinion

Cela faisait maintenant 15 années que le prince royal du Dorwinion était née, Calion avait beaucoup progressé dans son apprentissage et était prêt a prendre la relève de son père, bien que Calion souhaitait que ce soit le plus tard possible. Ils avaient tout deux, avec son frère était intégré a l'armée dite régulière du Dorwinion, Calion était devenu commandant en chef, il était placé sous le commandement de Redoc, général en chef des armées du Dorwinion, tandis qu'Othar était capitaine, sous le commandement de son grand frère Calion. Le Roi du Dorwinion,Pelendur était en son palais d'Imlad Galen. Le temps était plutôt froid pour la saison et un épais brouillard recouvrait tout, les sentinelles sur les murailles n'y voyaient pas loin et rare étaient ceux qui sortaient de chez eux car un temps pareils rend les gens morose. La cité était comme éteinte, une vrai citée fantôme, c'est pourquoi les sentinelles installées à la porte purent entendre le cheval. Ils avaient froid et la plupart ne quittaient pas le corps de garde ou les tours, mais de temps en temps, l'un d'eux se dévouait et passer le long des créneaux, cela prenait quelques minutes, mais les soldats n'aimaient pas sa et ils se sentaient inutile. Bientôt, l'un d'eux arriva en courant vers le corps de garde, il était essouffler mais tenta toutefois de parler, d'après ce que les autres purent comprendre, un cavalier seul approchait des portes d'Imlad Galen et sa démarche était étrange. L'officier en poste sonna la lourde cloche, celle-ci servait à prévenir lorsque quelque chose d'anormal se passait, aussitôt, cinq gardes arrivèrent de la caserne. C'est ainsi qu'ils se postèrent tous en haut du mur en attendant le cavalier. Celui-ci fut long à venir, son cheval avançait au trot, mais il allait en zigzaguant. Arriver à cinq mètre de la porte, alors que les gardes commencèrent à distinguer son habit, il tomba de monture et tous comprirent ce qu'il avait, l’empennage d'une flèche dépassait de son dos, il avait été attaquer ! Ils se dépêchèrent de tous sortirent et bientôt, ils s’aperçurent que l'homme était l'un des leurs, ils étaient au seuil de la mort, mais il parvint à dire quelques mots que seul l'homme le plus proche, pencher au dessus du blessé pu comprendre. Tandis que ces hommes emmenaient le cadavre, le Capitaine remonta en vitesse la rue de la ville pour arriver au palais, il entra rapidement et vint se présenter auprès du Roi qui prenait son repas du midi, ce qui était incongrue, car a cause du brouillard, on aurait pu être au milieu de la nuit. Le Capitaine s'excusa de le déranger, mais lui dit rapidement ce qui se passait, une armée ennemis approchait ! Le Roi en fut chambouler faillit tomber de son siège. Il remercia le garde et fit aussitôt donner l'alerte. Les soldats dans les casernes furent réveiller en vitesse et tous se dépêchèrent de prendre armes et armures. Le Roi les emmenaient en guerre, ils n'en savaient pas plus mais s'exécutaient quand même. Archers, Piquiers et Bouclier d'Argent furent prêt une heure plus tard. Le Roi, devant, sur son cheval, son fils Calion à ses côtés, leur ordonna d'avancer en vitesse. Les troupes en surent un peu plus, un officier qui avait participer au conseil de guerre avait appris qu'une forte armée se dirigeaient vers Imlad Galen. Tous les soldats se pressèrent donc, certains étaient presser d'en découdre, d'autres attendaient le moment fatidique avec appréhension. Ils arrivèrent bientôt au milieu d'une plaine, les troupes n'étaient pas ou courant et ne pouvaient voir l'ennemi, mais il était la, en face, derrière le nuage de brouillard. Calion était lui aussi nerveux, il ne voyait pas l'ennemi et celui-ci pouvait se cacher n'importe ou. Il fit donc organiser ses troupes en ordre de batailles, les piquiers devant, puis les archers et enfin les troupes d'élites, son père le laissant gérer la bataille, se contentant de l'assister et de le conseiller quand le prince faisait des erreurs de manœuvres. Le combat risquait d'être violent mais il fallait pour eux réussir. Ils entendirent alors des hommes arriver, en grand nombre, ils martelaient le sol et faisait un bruit du diable, mais le brouillard empêchait Calion de savoir si l'ennemi était devant ou derrière. Mais ils furent très vite fixer, surtout quand le flanc droit de l'armée fut enfoncer par des soldats à pieds. Les troupes du Dorwinion furent briser par l'armée ennemis plus importante. Calion et Pelendur eux mêmes se retrouvèrent en train de combattre pour survivre.  Les troupes étaient désorganisées, Calion fut entouré d’ennemi et dans la cohue de la bataille il ne pouvait plus donner d'ordre et très vite, sa monture fut abattue. Il se retrouva encercler par des Orientaux avide de sang et apparemment, il était la cible de tout ceci. Il se battit pour abattre le premier et ensuite le second. Les autres se jetèrent en même temps sur lui et il du esquiver plusieurs frappes avant d'achever le petit groupe. Il regroupa alors un groupe compact d'archers, il tenait a la vie et resta donc prêt d'eux. Il devait pour l'heure réorganiser ses troupes sous peine de les voir tous exterminer et avec ce brouillard, il ne voyait même pas si l'armée ennemi était entièrement dans la bataille. Les troupes du Dorwinion tentait comme elle pouvait de se regrouper, mais l'ennemi arrivait toujours en sur nombre pour les écraser et briser leurs faible lignes. Calion regroupa de plus en plus de troupes jusqu'à pouvoir presque reformer une ligne de défense, ils purent ainsi mieux se protéger, mais un nouvel ennemi arriva, une nuée de flèches s'abattit dans leurs rang et tua des dizaines d'hommes. Calion se jeta au sol et quand il se releva, il vit que partout, ses hommes tentaient de se défendre, mais qu'encore une fois, il n'y avait plus d'organisation, il jetta un coup d'oeil à son père qui était au prise avec deux hallebardier easterlings, mais il semblait s'en sortir aisément mal grès son vieil âge. Calion prit l'étendard de Bladorthin qui gisait sur le sol et le leva bien haut. La plupart qui le virent tentèrent de se rapprocher de lui et les lignes des hommes du Royaume des Vignes se regroupèrent, bientôt, les rescapés de l'armée furent en position face à l'ennemi et c'est ce moment qu'attendit le brouillard pour se lever, ils virent tout d'abord que partout, c'était les hommes du Dorwinion qui étaient tomber en plus grand nombre et leurs armée n'avaient plus fière allure. Mais ils virent ensuite l'armée des Orientaux, ils étaient au moins trois ou quatre fois plus nombreux et il n'y avait eu qu'une partit des troupes dans ce combat, les hommes au service de Calion comprirent que tout ceci n'avait été qu'un avant goût et que très bientôt, ils allaient souffrir mille mort face aux Orientaux. La charge ennemi fut donner, Calion ordonna à ses hommes de ne pas bouger et attendre le choc pour combattre. Quand l'ennemi frappa une première fois, les hommes réussirent à tenir bon, un second assaut fut donner ou quelques Orientaux réussirent à passer mais furent tuer, le troisième assaut fut le plus fatidique, de toute parts, les hommes tombaient et l’ennemi filaient rapidement pour en abattre toujours plus. Ce fut la déroute de l'armée, la plupart tentèrent de fuir mais furent tous abattus par des archers, Calion, avec une centaines d'hommes étaient les derniers debout, mais ils furent tous tuer, Calion II, prince du Dorwinion tomba au sol avec une blessure superficiel au côte, il tourna la tète pour voir ou son père était, il le vit alors combattre un soldat richement armuré, sûrement un général. Il maniait deux sabres court et était très agile, les coups  qu'il donnait au roi étaient rapide et Pelendur ne sut tous les contrés, il finit par lâcher son arme et tomba a genou d'épuisement et de ses blessures, le général easterling se mis alors derrière lui, en ramassant l'épée des rois du Dorwinion, il la posât sur le cou du père de Calion, ce dernier tremblait et été pris de sanglot, mais il ne pouvait bouger, ses propres blessures étaient trop profondes. Son père le regardat, comme si il voyait que son fils le regardait, il tendit la main vers lui et bougeât ses lèvres, Calion cru comprendre un simple mot, chargé de sens pour lui.

«Vie!»

Puis le soldat easterling plantât son épée dans le cœur du roi, qui tombât, secouer par de violents tremblements. Les  sanglots qui  s'était emparés de Calion auparavant se transformèrent en de véritables larmes, il était triste et ne pouvait croire ce qu'il avait vu, non ce n'était pas possible, pas lui ! Pelendur ne pouvait pas mourir, n'importe qui mais pas son père ! Le général regardât alors en direction du prince en entendant les pleurs et fit mine de l'ignorer, les troupes continuèrent leurs avancer vers la capitale du Dorwinion....

On laissa Calion pour mort... L'armée des Orientaux ne s'arrêta pas là, ils reprirent la route vers Imlad Galen, leurs but étaient de faire tomber la cité, et tout portaient à croire qu'ils allaient y arriver très vite. Calion resta inconscient un long moment, quand il revint à lui et qu'il vit partout ses hommes morts, il fut décourager, mais en repensant a ses ancêtres , et surtout son père, qui avaient été des grands Rois et qui, dans les pires situation avec réussit à combattre et survivre. Il se redonna donc courage et se releva, ce n'était pas le moment de se lamenter. Il partit vers Imlad Galen, il lui fallut un long moment mais il y arriva finalement, les Orientaux faisait le siège de la cité qui n'étaient heureusement pas encore tomber. Il réussit à y rentrer par une porte dérobée, dans toute la cité, les hommes se barricadaient avec leurs familles et les soldats dans la cité attendaient le combat avec appréhension. Il arriva au palais ou il trouva son frère en train de préparer la rédition de la citée, il ne savait plus quoi faire maintenant que le Roi était mort. Quel ne fut pas sa surprise et sa joie de revoir son frère en vie; Calion apprit rapidement ce qui c'était passer et assura a son frère qu'ils allaient se défendre et vaincre l'ennemi. Il organisa ses chevaliers car il allait mener la charge, son frère lui, mènerait les autres troupes. Quand l'ennemi commença à avancer vers eux, les portes furent ouverte et les cavaliers chargèrent. Calion les menaient, il savait de quoi l'ennemi était capable et il devait se méfier. Les cavaliers firent un ravage car les Orientaux ne s'y attendaient pas, mais ils se reprirent et avant que la charge ne fut terminée, les archers firent mouche sur les cavaliers. Calion fut forcer de donner la retraite alors que son frère menait son assaut, mais vu que les cavaliers s'étaient retiré ils se firent massacrer et se retirèrent eux aussi. Calion fit donc rentrer tout le monde dans la citée et les archers se mirent sur la muraille. Ils tirèrent tous ce qu'ils purent sur l'ennemi mais ils en restaient encore beaucoup sur la plaine. Ils tirèrent donc avec les armes de sièges, les catapultes lançaient leurs boulets sur l'ennemi, mais les ingénieurs n'étaient pas expert et la plupart tombaient à côté, ils abandonnèrent donc les armes de sièges. Mais l'ennemi amena un bélier, ce-dernier, au rythme des Orientaux commençait à frapper la grande porte de fer de la cité, il frappait en rythme et la pauvre porte finirais bientôt par céder. Un craquement assourdissant retentit dans la cité et les Orientaux se déversèrent dans la cité mais furent heureusement stopper par les Lanciers et les Boucliers d'Argent qui les empêchèrent d'entre complètement dans Imlad Galen. Les easterlings étaient toutefois déterminer, ils continuèrent jusqu'à ce qu'ils puissent se déverser dans la cité. Tous les soldats se jetèrent alors dans une mêlée ou le seul but était la survie. Ils se battirent comme ils purent mais furent encore repousser et bientôt, les défenseurs menaient de petits combats contre les assaillants chacun cherchant à survivre plutôt qu'à défendre son camp. Calion et son frère était au niveau de la porte, ils se protégeaient mutuellement mais avaient beaucoup de mal face a l'ennemi toujours plus nombreux et agressif. Mais les hommes du Dorwinion étaient repousser et progressivement, ils perdaient courage et confiance. Calion et son frère Ohtar durent même se réfugier dans le donjon. Calion prit donc une décision. Il fit venir auprès de lui des Gardes Prétoriens qui n'avaient pas encore combattu, il leur fit un discours et leurs demanda de combattre pour sauver le Dorwinion, ils jurèrent tous de se battre jusqu'à la mort et sortirent du Donjon en chargeant vers l’ennemie tout proche. Leurs charges fut dévastatrice, l'ennemi fut repousser comme par une violente bourrasque, les combattants d'élites du Dorwinion continuèrent à frapper et frapper encore, ils se battaient farouchement comme si leurs existence consistait a faire tomber les corps et couler le sang de l'ennemi. Tous ceux qui les voyaient combattre pouvaient ressentir leur envies de tuer. Cela redonna du courage aux autres qui reformèrent une vague ligne. Calion trouva un cheval, et, avec son étendard se mit devant ses troupes, il leur ordonna la charge et tous partirent sus aux Orientaux. Ils enfoncèrent les lignes ennemis. Mais mal gré leurs courages, leurs adversaires étaient encore nombreux et dangereux, tandis qu'ils se battaient, un groupe d'archers ennemis étaient monter sur des bâtiments et tentaient d'abattre Calion, en tant que Roi, il était le principale adversaire des Orientaux, et ce fut grâce à l'intervention héroïque d'un Garde qui protégea le Roi du Dorwinion en mettant son corps en rempart. Il mourut presque aussitôt, un léger sourire flottait sur ses lèvres. Calion se retira des combats pour ne pas mettre plus sa vie en danger. La bataille s'arrêta finalement, il y eu plus de deux milles prisonniers Orientaux mais le Dorwinion ne pouvait pas parler de victoire, il avait subit tellement de pertes. Calion fit regrouper tous les prisonniers et ils furent tous tuer, aucuns ne voulant répondre à leurs questions, ils se firent abattre rapidement et furent balancer avec les autres corps. Mais personnes ne pouvaient se reposer, Calion demanda à tous, même aux habitants de participer, les pertes avaient tellement étaient nombreuses qu'ils ne pourraient enterré leurs morts, ils seraient donc aussi, comme l'ennemi brûler à l'extérieure de la cité, hormis celui de Pelendur, il devait recevoir un enterrement digne d'un roi . Cependant, à la demande de Calion il n'y eut nul cérémonie ni sacre pour célébrer son arrivé sur le trône de son récemment défunt père...

Il fallut plus de deux semaines pour que tous les corps soient brûler, y compris ceux dans la plaine. La cité avait retrouver un peu de calme, Calion II fit regrouper toutes ses troupes sur la grande place de la cité, il voulait prononcer un discours en l'honneur des morts et remercier les vivants :


"Soldats du Dorwinion ! Mes frères, je commencerait par remercier tous les notres qui sont morts pour le Dorwinion, que se soit les combattants dans la plaine ou les défenseurs de la cité, tous on perdu la vie pour leur familles et leurs terres, c'est un acte de grnd courage et quoi que l'on puisse dire, nous ne les oublirons pas, ils sont les défenseurs de notre beau Royaume. Mais beaucoup de sang à couler et nos amis sont morts, a partir de maintenant, je les remercie et je leur accorde le repos éternel car ils ont remplie leur tache avec une bravoure sans égal. A vou s maintenant mes frères encore en vie, ne croyez pas que vous ne vous êtes pas battut comme il le fallait, vous avez su protéger votre Royaume comme des lions. Je vous remercie donc aussi et je vous accorde du repos car vous aussi vou sl'avez bien métirez mes frères."

Quand il eu terminer son discours, Calion retourna dans son palais pour lui aussi se reposer, il fut saluer et applaudit par beaucoup, mais il était éreinter et avait du mal à répondre à tous. Il entra dans ses appartements, et après avoir enlever son armure, il se coucha sans même débarbouiller le sang de ses blessures. Il dormit longtemps d'un long sommeil lourd. Il se réveilla le lendemain matin, son frère était là, assis, en attendant qu'il se réveille, ils se dirent bonjour, et quand le Roi fut parfaitement réveiller et habiller, son frère lui montra une bassine d'eau ou le Roi pourrait faire sa toilette. Pendant ce temps, son frère, Ohtar, Général du Dorwinion était assis sur une chaise, il regardait au dehors en silence, il lui dit finalement :

"Je dois te dire mon frère, que tu as mener cette guerre du mieux que tu l'a pu et même si nous avons eu des pertes, même si nos frères sont tomber en si grand nombre au combat, tu as su par les mots, et comme toujours, réveiller la flamme que chaque hommes possédaient, mais leur abattement l'avait souffler, c'est bien la différence entre nous mon frère, tu as l'étoffe d'être un Roi en tout point moi, je ne suis capable que d'être un chef militaire, peut être cela vient t-il de notre éducation, car bien que nos parents soient les même tu as été éduquer pour porter la couronne et moi pour te servir et te soutenir, sache que je le ferais encore et toujours quoi qu'il arrive. Tu es mon frère Calion II du Dorwinion, n'oublie pas cela."

"Je te remercie pour ce que tu viens de dire, j'en était venue à me poser des questions tout de même, après une telle bataille, je craingnait de ne pas être à la hauteur, si notre père t'ass bien appris une chose c'est à me soutenir et m'encourager pour ne pas que je faiblissent tu l'a toujours fait et j'espère que tu continueras ains, Otar, Général du Dorwinion."

Les deux frères se donnèrent l’accolade avant d'aller prendre le repas ensemble, ils mangèrent en silence et en jetant fréquemment des regard sur le soleil qui se levait en ce moment même. C'est alors qu'un officier en armure se présenta devant lui, il venait pour faire le décompte des morts. Il attendit patiemment que le Roi lui donne la permission de parler, celui-ci ne se pressa pas, mais la lui accorda. Il y avait des chiffres immenses de pertes, mais ils avaient apparemment tuer le double ou le triple d'adversaires d'après leurs estimations, le Roi remercia l'officier qui repartit et ils finirent tranquillement de parler, le Roi avait un regard dur, il était entrain de réfléchir et son frère cadet ne tenait en aucun qu'à à le déranger. Quand il eu finit, le Roi retourna dans ses appartements, il se plongea alors dans ses réflexions pour ne pas en sortir pendant plusieurs heures. Son frère le laissa toute la journée. Calion réfléchissait à ce qui c'était passer, pourquoi les Orientaux avaient tout d'un coup repris leurs attaques ? Cela faisait plusieurs années que le Dorwinion était en paix et rien n'y personne ne venait le déranger, maintenant qu'il savait le passé de son Royaume, il savait que cette paix remontait au père de son grand père, il devait donc y avoir quelque chose de spécial qui avait fait changer d'avis aux Orientaux, Calion ne croyait pas au hasard ni même au faite que les Orientaux montaient une armée, non, cela aurait pris moins de temps. Il regarda par sa fenêtre qui se dirigeait vers le Sud, sud Est, il avait une bonne vue de la et vit un amoncellement de nuage, son sang ce glaça en lui, il savait pourquoi les Orientaux se faisait plus pressant, il n'y avait qu'une chose qui aurait pu les forcer à agir ainsi et cette chose n'était autre que le Mordor. Le pays du Noir Ennemi. Le Dorwinion n'était engager réellement dans aucun camps, car il faisait du commerce avec Esgaroth et les nains mais en avait déjà fait avec des Orientaux. Mais le Mordor était une autre pair de manches, Calion n'avait rien lu à son propos dans les archives. Mais il savait très bien  que ces histoires se racontaient et ne s'écrivaient pas, mais elles étaient horrible et certaines parlait même de Lui, de Sauron l'Abominable. Calion frissonna et tenta de ne plus y penser, vaincre les Orientaux était faisable, mais le Mordor, c'était impossible, les forces que décuplaient ce Royaume maléfique suffiraient à anéantir le Dorwinion qui n'était pas un réel pays guerrier. Calion n'y pensa plus et partit plutôt vaquer à ses occupations, partout, les habitants et les soldats le saluait. Il monta sur les murailles et regarda en direction des nuages, ils étaient en effet au niveau du Mordor. Les nuages étaient bien là, noir et impressionnant, mais ils étaient très loin et très peu visible, Calion ne savait pas s'ils étaient en rapport avec le Mordor ou si c'était la saison qui les avaient attirer, il garda donc cette information pour lui et n'en dit rien à personne, même à son frère. Il remonta plutôt la rue ou c'était passer le combat le plus important, il n'y avait plus de trace du combat, même la grande porte était réparer le seul témoin du combat était peut être le souvenir de tout ces morts, rien de plus, mais Calion repensa aussi au Garde qui l'avait sauver, sans lui, il serait mort, il nota dans un coin de sa tête, qu'il devrait récompenser la famille de ce soldat qui s'était sacrifier pour le Roi.
Dwyngéïr Fhyringeld
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