[ Le Fléau de Durïn ]
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[ Le Fléau de Durïn ]
Fléau de Durïn
¤ Nom(s) du personnage: Balrog, la Malédiction de Durin, le Fléau de Durin
¤ Âge du personnage: On ne connait l'âge exact mais tout ce que l'on peut dire c'est qu'il a plusieurs Millénaires
¤ Race du personnage: Balrog
¤ Peuple du personnage: Créature de Morgoth
¤ Lieu de naissance du personnage: Ainulindalë
¤ Lieu de vie du personnage: Moria
¤ Histoire:
L'histoire commença, il y a bien longtemps, à l'époque ou deux grandes puissances se battirent pour faire survivre son idée. Valars et Morgoth s'entretuèrent lors d'un combat qui dura une cinquantaine d'année. Les Valars avaient envoyés une magnifique et gigantesque armée, les armures étaient d'argent et brillaient sous le soleil qui s'assombrissait, du coter de Morgoth, Dragon, loups, orcs et Orientaux frappèrent fort.
Des flammes jaillisses de tous les cotés, le ciel était noir de fumée, la pluie qui s'abattit n'arrêta pas l'embrasement d'Homme et d'Arbre. Dans l'ombre de l'armée de Morgoth, es créatures d'une grande puissance combattait, des créatures connus sous le nom de Balrog. Ils étaient doués de magies noirs, ancien Maiar corrompu, ils servent Morgoth et permit à celui-ci de vaincre beaucoup d'ennemi, des lames de feu jaillissaient de leur mains, des foutes claquants envahissaient le champs de bataille.Ces créatures n'apportaient que d'ombre, les torches que portaient certains étaient éteintes juste de son regard. La bataille était en la faveur du mal, mais une arrivée fracassante fit toute la différence, les Aigles Géants étaient arrivés et commencèrent à tuer les dragons, le roi des aigles réussit à tuer le prince dragon, ce qui changea le penchement de la balance lors de la bataille. Un des balrogs qui n'étaient pas connus pour etre lache, se rendit compte de la situation, il fuit alors. Dans les Monts Brumeux, il s'établit sous le plus haut pic, le Caradhras : ou il s'endormit, attendant l'heure ou l'ombre et le feu devrait régner prisonnié de sa prison minérale.
Plusieurs siècles passèrent sans que rien ne se produisit, dans ses entrailles, le Balrog prit l'apparence d'une roche sombre comme du charbon. Des arbres se formèrent et moururent, des feuilles tombèrent et repoussèrent, de nombreux paysage changèrent.
Non loin du repos profond du Balrog, vivait un clan, une tribut de nains gouverné par le roi Durin.
Il creusèrent de plus en plus profond pour leur galerie, quand vint le jour ou ils découvrirent une veine de Mithril.
Cette veine était malheureusement placé sur une route qui allait les mener à la mort. Ils creusèrent jour et nuit, chaque jour et chaque nuit était une bénédiction, un amas de mithril fut récolté.
Cette matière était fascinante, elle brillait comme de l'argent et était aussi solide que n'importe quoi sur la Terre des Milieux, sa légèreté été légendaire.
Il creusèrent, creusèrent, les pioches tapées de tous coter, des galeries gigantesques furent construites juste en dessous de Khazad-Dum, une cité à la fois gigantesque et magnifique.
Le réveil vint par une suite d'action que commis diffèrents peuples. Depuis le Premier Âge, les Nains du Peuple de Durin s'étaient établis sous les pics voisins de Celebdil et Fanuidhol, élargissant les grottes naturelles pour creuser la vaste demeure de Khazad-dûm. Au début du Second Âge, la découverte de mithril poussa les Nains à en exploiter une veine qui s'enfonçait toujours plus profondément sous le Caradhras. L'attraît du mithril était tel qu'il dépassa les craintes des Nains, qui surnommaient le Caradhras « Le Cruel » en raison de son temps très instable, et en apparence hostile, sans doute du fait de la volonté maligne du Balrog. Le mitrhil était une ressource très rare mais à la fois si précieuse. Cette matière pouvait etes fondus comme du fer par les nains et etre maniés à leur guise. Ils étaient de paisibles mineurs, qui creusaient dans les grottes de la Moria pour en extraire le Mithril. De cette matière plus précieuse que l'or, ils faisaient un métal très résistant et incroyablement léger. A cause de leur avidité de plus en plus grande, les Nains creusèrent si profondément leurs mines qu'ils en ont libéré une créature, de sa prison minérale. Creusant, creusant, et creusant encore, ils avaient atteint une profondeur que seul le Balrog avait atteint auparavant. Ne connaissant et ne sachant point de quoi ils s'agissaient, mais ils ne firent pas attention de cela, car des orques étaient à leurs portes. Ils avaient réussit à rentrer, des orques venus du mordor par ordre de Sauron.
Les nains furent presque aussitôt entourés par le premier groupe orc. Les autres, dans l'impossibilité de tirer à cause de l'épaisse masse de leurs congénères qui entourait Durin et ses soldats, hésitèrent quelques instants avant de ranger leurs arcs, puis se lancèrent également dans la bataille, cimeterres et dagues dégainées.
Les nains formaient un petit cercle qui résistait vaillamment aux assauts gobelins. Harcelés de toutes parts, écorchures, griffures et plaies sanglantes ne tardèrent pas à s'incruster horriblement sur le corps des combattants d'Erebor. Pourtant, aucun des neufs compagnons n'avait encore cédé la moindre parcelle de roche aux assaillants. Durin abattait férocement sa hache sur chaque gobelin qui faisait un mouvement en sa direction qu'il jugeait trop brusque.
« Cinq... six... sept ! Ah ! Ah ! Pitoyables créatures, tâtez donc du tranchant de ma hache ! »
Et elles tâtèrent, si bien que le groupe gobelin vit sa population décroître à une vitesse alarmante. Certains commencèrent à paniquer, et, si l'un des nains ne s'était soudainement effondré, victime d'une attaque traître des larbins de Saurons, ces derniers auraient très probablement pris la fuite.
Mais le combat ne pouvait durer éternellement, et, si l'issue en était plus qu'incertaine, ce ne fut pas la victoire d'un des camp qui en décida. Car soudain, jaillissant des profondeurs ténébreuses de la caverne, une gigantesque forme noirâtre filiforme bondit à travers l'épaisse fumée vaporeuse, et, en quelques secondes, fut sur le groupe de combattants.
Le peu de temps que dura son vol éthéré vit la fin des hostilités entre nains et gobelins, qui, faisant taire leurs armes, observèrent avec terreur l'ombre fondre sur eux. Alors qu'elle s'apprêtait à les écraser tous, elle disparut aussi rapidement qu'elle était apparue, laissant un groupe hétéroclite et hagard dans le silence et le désarroi les plus complets. Aucun des antagonistes n'osait relever son arme pour reprendre le combat. L'attente insupportable qu'avait provoquée cette disparition fut bien vite brisée ; un grondement terrible retentit. Ou plutôt, un rugissement. Il était aussi surnaturel que terrifiant, comme le cri d'agonie d'une hydre mêlé à toutes les plaintes des Enfers. Les esprits angoissés et apeurés des gobelins, mais aussi des nains, n'eurent que peu de temps pour imaginer la créature qui en était responsable, car la bête se dévoila à eux dans toute sa redoutable splendeur : une gigantesque flamme, léchant le sol et l'air juste devant eux, révéla aux yeux ébahis du groupe un monstre semblant fait de feu et d'ombre, dont la silhouette était aussi difficile à discerner dans l'obscurité ambiante que la tour de Dol Guldur dans Mirkwook, plongée dans une nuit sans étoiles et sans Lune.
Alors, et seulement alors, ils réalisèrent à quel point leur lutte était vaine, et tous, sans une once d'hésitation, fuirent comme la peste cette créature émanant des profondeurs mêmes de la terre.
Les gobelins lâchèrent leurs armes et coururent en désordre, si bien qu'ils se firent eux-mêmes et bien involontairement les premières cibles du monstre de feu. Celui-ci abaissa son visage hideux au niveau du sol et, dans un souffle infernal, carbonisa les orques qui eurent la mauvaise intuition de fuir vers les couloir latéraux.
Les autres ne reproduisirent pas la même erreur et fondirent comme un seul corps vers les bouches les plus proches. Il furent vite imités par les nains, qui, s'ils avaient été gratifiés par Aüle d'un grand courage, savaient le différencier de la folie suicidaire. Le monstre ailé sembla saisir la manœuvre, et, s'emparant de ce qui ressemblait à un fouet constitué seulement de flammes ardentes, le fit claquer dans les airs avant de le lancer en direction de ses malheureuses victimes. Trois gobelins furent fauchés par la simple courbure du fouet, tandis que celui-ci allait battre violemment le haut du passage que tentaient d'emprunter les survivants. Une partie de la roche qui constituait la paroi de l'entrée du passage céda sous la puissance du choc, broyant ceux sur qui elle s'effondra.
L'animal démoniaque, satisfait de sa première attaque, entreprit de frapper à nouveau les fuyards. Cette fois, son coup se voulait beaucoup plus précis : il visait un de ceux qui essayaient de lui échapper ; et ce fut Durin. Son fouet s'élança avec une précision formidable en direction du nain, qui était trop occupé à courir aussi vite qu'il le pouvait vers la sortie pour s'en apercevoir.
L'arme méphistophélique n'atteint pourtant pas sa cible ; du moins, pas vraiment. Ayant vu le feu infernal fondre sur son seigneur et frère, l'un des nains se jeta sur lui, le repoussant avec violence sur la paroi rocheuse.Durin s'effondra, brièvement assommé, mais assista à un spectacle qui lui brisa le cœur : l'extrémité du fouet s'était enroulée autour du pied de son compagnon, qui commençait déjà à brûler. La malheureux lui adressa un dernier regard, à la fois terrorisé, mais fier, mais soulagé. Puis, il fut soulevé dans les airs, comme s'il n'avait rien pesé, et disparut dans la gueule béante du diable qui l'avait happé. Encore ébranlé par la vision de ses deux cousins assassinés en si peu de temps, Durin dut être secoué par l'un de ses guerriers pour reprendre ses esprits, se relever, et fuir à nouveau. Car c'était là la seule option qu'il lui restait.
Fuir, fuir l'ombre et la flamme, fuir les profondeurs obscures de Khazad-dûm ; fuir la Moria.
Mais après plusieurs jours de retraire,Le roi Durin se mit en marche pour le détruire, son armure était de mithril , sa hache d'un fer forgé par les nains, il descendit dans les profondeurs et arriva devant l'entrée des mines, il y pénétra et vit alors la créature qui monta sur ses deux grandes pattes. Sa cotte de maille et sa hache ne fit rien. Il fut tué de la main du Balrog, et les Nains baptisèrent le démon « Le Fléau de Durin » , en souvenir de leur roi.
Bien des nains essayèrent de le terrasser, mais rien ne fit, il avait enfoncé porte et mur, ne supportant pas ses attaques incessantes. Il était arrivée dans la grande salle ou il fit de nombreuses victimes, quand il fut arrivé, il utilisa sa magie pour éteindre toutes les lumières qui existaient, les nains étaient dans l'ombre. Pendant un an durant, ils essayèrent de la terrasser sans y parvenir, ils quittèrent alors Khazad-Dum dans l'ombre et les flammes. Les mines furent alors appelé La Moria par les elfes : le gouffre noire dans la langue commune. Cette créature obligea certains Elfes de partir plus tôt vers L'Ouest.
Khazad-Dum était devenu désert, rien ne pouvais vaincre l'ombre qui y régnait, durant 5 siècles, il resta dans ses mines à faire régner la peur, quand vint la présence d'orque qui s'établit dans ce royaume sombre et pourris, envoyé par Sauron pour bloquer les passages des Monts Brumeux.
La Balrog réussit à contrôler ses orques par la peur, ils étaient en quelques sortes ses gardiens, de nombreux nains essayèrent de les exterminer, beaucoup échouèrent, la Guerre des nains contre Orque commença.
Beaucoup de sang noir fut mélangé parmi les cadavres de nains, beaucoup de corps furent brulé.
Après de nombreux massacre, les nains triomphèrent des orques mais ne parvinrent pas à reprendre leur forteresse souterraine.
Le Balrog inspiré la peur, la mort et l'ombre. Après les orques se fut des gobelins qui vinrent s'installer dans les mines.
Le Balrog toléra leur présence et les contrôla aussi par peur. Les gobelins n'arrêtèrent guère de se multiplier. Ils étaient des milliers sous les ordres du Fléau de Durin et rien ne pouvait arrêter ces bêtes immondes.
Les mines restèrent calme et sombre, le Balrog voulait tenter de sortir pour conquérir le monde, ainsi que de se venger. Chaque jour il se dirigeai vers les portes pour les enfoncer, chaque jour, il avançait. D'autres nains entrèrent dans ses mines, ignorant sans doutes l'existence du Balrog. Ils avancèrent dans la Grande Salle, arrivée là, ils furent eux aussi massacrer.
Ils étaient au milieux de la Grande Salle, quand des tambours commencèrent à se faire entendre, l'adrénaline, des gobelins arrivèrent de tous cotés, de l'ouest de la salle à l'est, du nord au sud, du plafond et du sol. Les Gobelins avait avec eux un Troll des cavernes, qui terrassait tout ce qui se trouvé. En quelques minutes, ses quelques nains furent écrasé, mâché et balancé de tout les coter.
Le Balrog voyant ses entrées très fréquentes ordonna que l'on installe des archets Gobelins au pont de Khazad-Dum et que l'on y surveille chaque sortit.
L'entrée de la porte magique ne fut pas surveillé, elle était déserte, ceci permettait de tromper l'ennemi lors de sa venue.
Le Balrog sentait une puissance qui s'approchait, une puissance, qu'il n'avait pas sentit depuis très longtemps. Il repart alors dans les profondeurs, attendant que cette puissance passe par ces frontières.Dans les mines il se rendormit, personne ne pouvait savoir ce qu'il allait y arriver.
L'ombre avance, les flammes jaillisses, la peur domine chaque être vivant, le mal retrouve sa puissance.
Le monde allait changer, le monde tel que vous l'aviez connu, tel que vous l'aviez imaginé, n'est plus qu'un souvenir enfuit.
Le monde est gris, les montagnes sont vieilles;
Le feu de la forge est d'un froid de cendre;
Nulle Harpe n'est pincée, nul marteau ne frappe:
Les ténèbres règnent dans les salles de Durin;
L'ombre s'étend sur son tombeau
En la Moria, à Khazad-Dum.
Mais encore les étoiles noyées apparaissent
Dans le sombre Lac du Miroir privé de vent;
Là git sa couronne dans l'eau profonde,
Jusqu'à ce que Durin du sommeil se réveille.
Le feu de la forge est d'un froid de cendre;
Nulle Harpe n'est pincée, nul marteau ne frappe:
Les ténèbres règnent dans les salles de Durin;
L'ombre s'étend sur son tombeau
En la Moria, à Khazad-Dum.
Mais encore les étoiles noyées apparaissent
Dans le sombre Lac du Miroir privé de vent;
Là git sa couronne dans l'eau profonde,
Jusqu'à ce que Durin du sommeil se réveille.
¤ Caractère: Le Balrog déteste que l'on envahisse son territoire sans en demander l'autorisation, il aime etre craint et détruire tout ce qui se trouve sur son passage, utilisant force, flamme et magie. Le Balrog possède aussi une intelligence, il sait réfléchir lors d'un combat, et établir des plans tactiques pour combattre un ennemi, il adore diriger et tout contrôler.
¤ Physique: La créature est gigantesque, elle est de flamme et de braise, ses yeux sont de feu ainsi que sa crinière, sa longue laisse au bout une grande flamme, ces cornes ornées sur sa tete n'arrivent pas à cacher les flammes qui jaillissent de sa bouche, il forme fouet, épée, massue à l'aide de ses pouvoirs et se forme de flammes.
¤ Camp: MAL
Dwyngéïr Fhyringeld- Messages : 208
Date d'inscription : 31/12/2012
Localisation : Forloi
Feuille de personnage
Titres: Thäne des Grimferthas Waefringas ¤ Sénéchal des Landes Farouches ¤ Froid dans le Froid ¤ Chercheur de peine
Fiche d'équipement:
Barre d'Experience:
(100/100)
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